Attributes | Values |
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type
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label
| - In Dreams : David Lynch revisited
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comment
| - Depuis Eraserhead en 1977, jusqu’aux bandes originales d’Angelo Badalamenti pour Twin Peaks ou Mulholland Drive, David Lynch n’a cessé de convoquer la musique ou le son en réinventant leur place au cinéma.
Difficile d’oublier la scène du vénéneux Blue Velvet dans laquelle Dean Stockwell chante en playback In Dreams de Roy Orbison. C’est en fait toute l’œuvre de David Lynch qui est indissociable de la matière musicale, qu’elle vienne d’un certain patrimoine pop(ulaire) ou des partitions du compositeur Angelo Badalamenti pour Sailor & Lula, Twin Peaks, Lost Highway ou bien encore Mulholland Drive. Musique pure, effets sonores ou bruitages, Lynch convoque tous les sons, tous les bruits. Après avoir signé de beaux concerts-hommages à Tom Waits et John Lennon et Yoko Ono notamment, David Coulter revisitera cette fois l’univers fascinant du cinéaste américain pour magnifier cette relation à part qu’il entretient avec la musique. Épaulé par un beau casting vocal, il s’accaparera les œuvres de Badalamenti comme le songbook lynchien des chansons de David Bowie, Chris Isaak, Jimmy Scott et bien évidemment Roy Orbison. Un concert construit comme un rêve. (fr)
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| - Depuis Eraserhead en 1977, jusqu’aux bandes originales d’Angelo Badalamenti pour Twin Peaks ou Mulholland Drive, David Lynch n’a cessé de convoquer la musique ou le son en réinventant leur place au cinéma.
Difficile d’oublier la scène du vénéneux Blue Velvet dans laquelle Dean Stockwell chante en playback In Dreams de Roy Orbison. C’est en fait toute l’œuvre de David Lynch qui est indissociable de la matière musicale, qu’elle vienne d’un certain patrimoine pop(ulaire) ou des partitions du compositeur Angelo Badalamenti pour Sailor & Lula, Twin Peaks, Lost Highway ou bien encore Mulholland Drive. Musique pure, effets sonores ou bruitages, Lynch convoque tous les sons, tous les bruits. Après avoir signé de beaux concerts-hommages à Tom Waits et John Lennon et Yoko Ono notamment, David Coulter revisitera cette fois l’univers fascinant du cinéaste américain pour magnifier cette relation à part qu’il entretient avec la musique. Épaulé par un beau casting vocal, il s’accaparera les œuvres de Badalamenti comme le songbook lynchien des chansons de David Bowie, Chris Isaak, Jimmy Scott et bien évidemment Roy Orbison. Un concert construit comme un rêve. (fr)
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