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Sa m\u00E8re, Lorraine Adie, est une arch\u00E9ologue sp\u00E9cialiste du pal\u00E9olithique au Proche-orient. Son p\u00E8re, Miles Axe Copeland Junior, agent de la CIA, est responsable du bureau de Beyrouth, au Liban. Stewart \u00E9tudie donc au lyc\u00E9e am\u00E9ricain de Beyrouth, commence l'\u00E9tude de la batterie \u00E0 douze ans, et \u00E0 treize ans joue de la batterie pour des \u00E9coles de danse. Apr\u00E8s un passage en Angleterre, o\u00F9 il \u00E9tudie \u00E0 Millfield (Somerset) de 1967 \u00E0 1969, il part en Californie, o\u00F9 il suit notamment les cours de l'Universit\u00E9 de Californie \u00E0 Berkeley. Il retourne en Angleterre, travaillant en 1974 comme directeur de tourn\u00E9e du groupe de rock progressif Curved Air, dont il deviendra le batteur de 1975 \u00E0 1976. En 1977, Stewart Copeland avec le chanteur et bassiste Sting et le guitariste Henry Padovani (rapidement remplac\u00E9 par Andy Summers), fondent le groupe The Police, qui deviendra un des groupes les plus connus des ann\u00E9es 1980. Le groupe se s\u00E9para en 1984, suite \u00E0 des tensions entre les membres, principalement entre Sting et Stewart. Une nouvelle tourn\u00E9e a eu lieu en 2007-2008. En parall\u00E8le de sa carri\u00E8re avec The Police, Copeland a aussi enregistr\u00E9 sous le pseudonyme de Klark Kent plusieurs singles distribu\u00E9s en Grande Bretagne en 1978, dont le premier Don't Care est entr\u00E9 dans les charts britanniques. En 1980 sort un 25 cm enregistr\u00E9 au studio Surrey Sound Studio de Nigel Gray r\u00E9unissant 8 singles, Copeland jouant tous les instruments en re-recording.Son style est facilement reconnaissable : une frappe puissante, rapide, nerveuse et le plus souvent en avant du temps (il pr\u00E9cise dans une vid\u00E9o que son professeur de batterie en Egypte lui avait appris une technique de percussion orientale consistant \u00E0 toujours jouer \"d\u00E9cal\u00E9 juste avant le temps\", \u00E0 la double croche avant la pulsation) pour donner du groove aux autres instruments. Le son de caisse claire est tr\u00E8s tendu et mat. Stewart Copeland s'est largement inspir\u00E9 des batteurs et des rythmes reggae qu'il a acc\u00E9l\u00E9r\u00E9s tout en d\u00E9pla\u00E7ant quelques accents. Stewart a v\u00E9ritablement marqu\u00E9 toute une g\u00E9n\u00E9ration de batteurs. Stewart Copeland prend en fait le contre-pied de la g\u00E9n\u00E9ration pr\u00E9c\u00E9dente qui se satisfaisait d'un \u00AB soft beat \u00BB tr\u00E8s sourd et r\u00E9p\u00E9titif \u00E0 la mani\u00E8re des Eagles. Tr\u00E8s vite, un ing\u00E9nieur du son va l'aider \u00E0 sortir la sonorit\u00E9 caract\u00E9ristique du groupe Police, pierre angulaire du trio, en r\u00E9glant tr\u00E8s haut le rendu de sa grosse caisse. Stewart Copeland n'h\u00E9site pas ainsi \u00E0 faire le \u00AB beat \u00BB avec son pied droit, lib\u00E9rant du coup sa main gauche en d\u00E9laissant la caisse claire (sauf pour les refrains) et en utilisant du mat\u00E9riel de percussion (octobans) et des effets sp\u00E9ciaux (echo, delay...). Illustration de cette technique tr\u00E8s \u00E9labor\u00E9e, le morceau Walking on the Moon (album Reggatta de Blanc) est un mod\u00E8le du genre qui a fait date dans l'histoire du \u00AB reggae blanc \u00BB de Police. Copeland est un des rares batteurs de rock \u00E0 utiliser la prise tambour plus volontiers que la prise timbale. Stewart Copeland continue de se produire dans le cadre de diff\u00E9rents projets musicaux, m\u00E9langeant volontiers les influences. La cinquantaine pass\u00E9e, l'\u00E9nergie de l'ex-batteur de Police reste intacte devant ses f\u00FBts."@fr . @prefix owl: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 owl:sameAs . @prefix ns6: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 owl:sameAs ns6:cb138927216 ; prov:wasDerivedFrom . @prefix xsd: . @prefix schema: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 schema:birthDate "1952-07-16"^^xsd:date , "1952"^^xsd:gYear . @prefix ns9: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 prov:wasAttributedTo ns9:DOREMUS ; prov:wasGeneratedBy . @prefix ns10: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 ecrm:P98i_was_born ns10:birth . @prefix foaf: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 foaf:name "Stewart Copeland" , "Klark Kent" . @prefix dct: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 dct:identifier "41239" ; foaf:gender "male"@en . @prefix dc: . ns1:d4842de0-03e1-38e3-bed8-8f14ec8ff2b9 dc:identifier "20089640" , "13892721" ; foaf:firstName "Stewart" ; ecrm:P131_is_identified_by "Copeland, Stewart (1952)" ; ecrm:P3_has_note "EX MEMBRE DE POLICE\r\nA FAIT PARTIE DU GROUPE GIZMO\r\nA ECRIT ET JOUE SOUS LE PSEUDO DE KLARK KENT"@fr , "Stewart Armstrong Copeland, n\u00E9 le 16 juillet 1952 \u00E0 Alexandria, en Virginie, \u00C9tats-Unis, est le batteur du groupe The Police. Apr\u00E8s leur s\u00E9paration, il a jou\u00E9 dans d'autres groupes et compos\u00E9 des musiques de film (entre autres celle de Rusty James de Francis Ford Coppola). Stewart Copeland na\u00EEt aux \u00C9tats-Unis dans la ville d'Alexandria, en Virginie. Il est le plus jeune d'une famille de 4 enfants. Tr\u00E8s t\u00F4t dans sa vie, sa famille part vivre en \u00C9gypte, \u00E0 Alexandrie. Sa m\u00E8re, Lorraine Adie, est une arch\u00E9ologue sp\u00E9cialiste du pal\u00E9olithique au Proche-orient. Son p\u00E8re, Miles Axe Copeland Junior, agent de la CIA, est responsable du bureau de Beyrouth, au Liban. Stewart \u00E9tudie donc au lyc\u00E9e am\u00E9ricain de Beyrouth, commence l'\u00E9tude de la batterie \u00E0 douze ans, et \u00E0 treize ans joue de la batterie pour des \u00E9coles de danse. Apr\u00E8s un passage en Angleterre, o\u00F9 il \u00E9tudie \u00E0 Millfield (Somerset) de 1967 \u00E0 1969, il part en Californie, o\u00F9 il suit notamment les cours de l'Universit\u00E9 de Californie \u00E0 Berkeley. Il retourne en Angleterre, travaillant en 1974 comme directeur de tourn\u00E9e du groupe de rock progressif Curved Air, dont il deviendra le batteur de 1975 \u00E0 1976. En 1977, Stewart Copeland avec le chanteur et bassiste Sting et le guitariste Henry Padovani (rapidement remplac\u00E9 par Andy Summers), fondent le groupe The Police, qui deviendra un des groupes les plus connus des ann\u00E9es 1980. Le groupe se s\u00E9para en 1984, suite \u00E0 des tensions entre les membres, principalement entre Sting et Stewart. Une nouvelle tourn\u00E9e a eu lieu en 2007-2008. En parall\u00E8le de sa carri\u00E8re avec The Police, Copeland a aussi enregistr\u00E9 sous le pseudonyme de Klark Kent plusieurs singles distribu\u00E9s en Grande Bretagne en 1978, dont le premier Don't Care est entr\u00E9 dans les charts britanniques. En 1980 sort un 25 cm enregistr\u00E9 au studio Surrey Sound Studio de Nigel Gray r\u00E9unissant 8 singles, Copeland jouant tous les instruments en re-recording.Son style est facilement reconnaissable : une frappe puissante, rapide, nerveuse et le plus souvent en avant du temps (il pr\u00E9cise dans une vid\u00E9o que son professeur de batterie en Egypte lui avait appris une technique de percussion orientale consistant \u00E0 toujours jouer \"d\u00E9cal\u00E9 juste avant le temps\", \u00E0 la double croche avant la pulsation) pour donner du groove aux autres instruments. Le son de caisse claire est tr\u00E8s tendu et mat. Stewart Copeland s'est largement inspir\u00E9 des batteurs et des rythmes reggae qu'il a acc\u00E9l\u00E9r\u00E9s tout en d\u00E9pla\u00E7ant quelques accents. Stewart a v\u00E9ritablement marqu\u00E9 toute une g\u00E9n\u00E9ration de batteurs. Stewart Copeland prend en fait le contre-pied de la g\u00E9n\u00E9ration pr\u00E9c\u00E9dente qui se satisfaisait d'un \u00AB soft beat \u00BB tr\u00E8s sourd et r\u00E9p\u00E9titif \u00E0 la mani\u00E8re des Eagles. Tr\u00E8s vite, un ing\u00E9nieur du son va l'aider \u00E0 sortir la sonorit\u00E9 caract\u00E9ristique du groupe Police, pierre angulaire du trio, en r\u00E9glant tr\u00E8s haut le rendu de sa grosse caisse. Stewart Copeland n'h\u00E9site pas ainsi \u00E0 faire le \u00AB beat \u00BB avec son pied droit, lib\u00E9rant du coup sa main gauche en d\u00E9laissant la caisse claire (sauf pour les refrains) et en utilisant du mat\u00E9riel de percussion (octobans) et des effets sp\u00E9ciaux (echo, delay...). Illustration de cette technique tr\u00E8s \u00E9labor\u00E9e, le morceau Walking on the Moon (album Reggatta de Blanc) est un mod\u00E8le du genre qui a fait date dans l'histoire du \u00AB reggae blanc \u00BB de Police. Copeland est un des rares batteurs de rock \u00E0 utiliser la prise tambour plus volontiers que la prise timbale. Stewart Copeland continue de se produire dans le cadre de diff\u00E9rents projets musicaux, m\u00E9langeant volontiers les influences. La cinquantaine pass\u00E9e, l'\u00E9nergie de l'ex-batteur de Police reste intacte devant ses f\u00FBts."@fr ; schema:birthPlace ; foaf:surname "Copeland" .