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| - Pour des raisons personnelles, Leonidas Kavakos ne pourra participer ce jeudi 4 mai 2017 au concert avec le Royal Concertgebouw Orchestra. Il sera remplacé par Isabelle Faust, violoniste.
Un des orchestres les plus admirés au monde, un des archets majeurs de notre temps et un chef aimé du public français unissent leur talent dans un programme réunissant deux sommets du grand répertoire signés Brahms et Beethoven.
Avec ceux de Beethoven, Mendelssohn et Tchaïkovski, le Concerto pour violon de Brahms s’inscrit au firmament de la littérature violonistique. Son chemin royal n’était pourtant pas tout tracé : Joseph Joachim, à qui le compositeur le destinait, le trouva injouable et Brahms du procéder à des aménagements. De même, on a peine à croire que la Troisième Symphonie de Beethoven fut mal reçue par la critique après sa création en 1805 à Vienne. Dédiée dans un premier temps à Bonaparte, le musicien modifia l’en-tête de la partition, à la suite du couronnement de Napoléon en tant qu’empereur. Le terme d’ « héroïque » apparut à cette occasion. L’œuvre doit une partie de son immense célébrité à sa Marche funèbre, d’une puissance d’évocation sans pareille. (fr)
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| - Pour des raisons personnelles, Leonidas Kavakos ne pourra participer ce jeudi 4 mai 2017 au concert avec le Royal Concertgebouw Orchestra. Il sera remplacé par Isabelle Faust, violoniste.
Un des orchestres les plus admirés au monde, un des archets majeurs de notre temps et un chef aimé du public français unissent leur talent dans un programme réunissant deux sommets du grand répertoire signés Brahms et Beethoven.
Avec ceux de Beethoven, Mendelssohn et Tchaïkovski, le Concerto pour violon de Brahms s’inscrit au firmament de la littérature violonistique. Son chemin royal n’était pourtant pas tout tracé : Joseph Joachim, à qui le compositeur le destinait, le trouva injouable et Brahms du procéder à des aménagements. De même, on a peine à croire que la Troisième Symphonie de Beethoven fut mal reçue par la critique après sa création en 1805 à Vienne. Dédiée dans un premier temps à Bonaparte, le musicien modifia l’en-tête de la partition, à la suite du couronnement de Napoléon en tant qu’empereur. Le terme d’ « héroïque » apparut à cette occasion. L’œuvre doit une partie de son immense célébrité à sa Marche funèbre, d’une puissance d’évocation sans pareille. (fr)
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