Attributes | Values |
---|
type
| |
label
| - Les Dissonances - David Grimal
|
comment
| - Dans un article de 1947 resté justement célèbre, Schönberg retraçait l’histoire d’« un progrès vers cette libération totale du langage musical dont Brahms le progressiste aura été l’initiateur ». Et dans un bref texte autobiographique de 1949, il raconte qu’il a été un « brahmsien » inconditionnel, qu’il a hérité de Brahms ce qu’il appelle le « développement par variation » ou encore un « attrait pour les nombres impairs de mesures ».
Entendre la Troisième Symphonie de Brahms à travers les oreilles de Schönberg, c’est donc écouter à nouveau ce qui a
fini par être enseveli sous la popularité de certaines mélodies brahmsiennes (le thème du Poco allegretto a été adapté d’innombrables fois, de Serge Gainsbourg à Frank Sinatra). À l’inverse, on peut aussi, à travers le prisme de Brahms, prêter une oreille neuve à Schönberg, notamment au retour à la tonalité qui caractérise la Seconde Symphonie de chambre. (fr)
|
P69 has association with
| |
prov:wasDerivedFrom
| |
P2 has type
| |
U8 foresees time-span
| |
prov:wasAttributedTo
| |
prov:wasGeneratedBy
| |
U77 foresees performing plan
| |
P102 has title
| - Les Dissonances - David Grimal
|
U7 foresees place at
| |
dc:identifier
| |
P3 has note
| - Dans un article de 1947 resté justement célèbre, Schönberg retraçait l’histoire d’« un progrès vers cette libération totale du langage musical dont Brahms le progressiste aura été l’initiateur ». Et dans un bref texte autobiographique de 1949, il raconte qu’il a été un « brahmsien » inconditionnel, qu’il a hérité de Brahms ce qu’il appelle le « développement par variation » ou encore un « attrait pour les nombres impairs de mesures ».
Entendre la Troisième Symphonie de Brahms à travers les oreilles de Schönberg, c’est donc écouter à nouveau ce qui a
fini par être enseveli sous la popularité de certaines mélodies brahmsiennes (le thème du Poco allegretto a été adapté d’innombrables fois, de Serge Gainsbourg à Frank Sinatra). À l’inverse, on peut aussi, à travers le prisme de Brahms, prêter une oreille neuve à Schönberg, notamment au retour à la tonalité qui caractérise la Seconde Symphonie de chambre. (fr)
|
foaf:isPrimaryTopicOf
| |