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type
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label
| - Orchestre de Paris - Paavo Järvi
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comment
| - Changement complet d’ambiance : après la musique française, c’est à la (re)découverte de la musique scandinave que l’Orchestre de Paris convie son public. De Nielsen, il avait déjà joué la Symphonie Inextinguible, œuvre complexe et très largement proportionnée, mais c’est un tout autre aspect de sa musique qu’on découvrira ici. Maskarade, œuvre antérieure, est un opéra-comique tout de gaieté. L’ouverture, vive et légère, ne trahit pas l’héritage que Nielsen revendiqua toujours tenir de Brahms.
On ne peut donc pas imaginer opposition plus franche entre Grieg et lui.
Les premières notes de Peer Gynt – où l’alto solo imite une danse traditionnelle norvégienne – suffiront à s’en convaincre : cette musique est enracinée dans la tradition populaire scandinave.
Peer Gynt est l’une des œuvres les plus appréciées du répertorie symphonique. La mélodie magnifique de Solveig, le chant triste de la mort de la mère de Peer Gynt, la course-poursuite des trolls sont trois thèmes familiers, de ceux que l’on connaît sans bien savoir d’où ils viennent. L’auditeur appréciera de les retrouver ici dans leur contexte original, avec orchestre, chœur et soliste, tel que Grieg l’avait conçu pour accompagner la création de la pièce de théâtre d’Ibsen.
Le Concerto pour piano n° 2 de Chostakovitch, qui n’a jamais été joué à l’Orchestre de Paris jusqu’ici, inaugure un mini-cycle puisque deux symphonies seront également au programme des concerts de cette fin de saison. C’est une œuvre qui respire la bonne humeur, bien dans la continuité de l’Ouverture de Maskarade. Chostakovitch l’écrivit en 1957 pour son fils Maxim, jeune pianiste. Bernstein la présenta à l’Ouest un an plus tard. Elle est transparente et pleine d’esprit : dans le troisième mouvement Chostakovitch va jusqu’à citer les exercices pour les doigts avec lesquels il avait encouragé les débuts de son fils au piano ! (fr)
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| - Alexander Toradze - Mari Eriksmoen - Ann Hallenberg - Arnaud Denis - Choeur de l'Orchestre de Paris
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| - Changement complet d’ambiance : après la musique française, c’est à la (re)découverte de la musique scandinave que l’Orchestre de Paris convie son public. De Nielsen, il avait déjà joué la Symphonie Inextinguible, œuvre complexe et très largement proportionnée, mais c’est un tout autre aspect de sa musique qu’on découvrira ici. Maskarade, œuvre antérieure, est un opéra-comique tout de gaieté. L’ouverture, vive et légère, ne trahit pas l’héritage que Nielsen revendiqua toujours tenir de Brahms.
On ne peut donc pas imaginer opposition plus franche entre Grieg et lui.
Les premières notes de Peer Gynt – où l’alto solo imite une danse traditionnelle norvégienne – suffiront à s’en convaincre : cette musique est enracinée dans la tradition populaire scandinave.
Peer Gynt est l’une des œuvres les plus appréciées du répertorie symphonique. La mélodie magnifique de Solveig, le chant triste de la mort de la mère de Peer Gynt, la course-poursuite des trolls sont trois thèmes familiers, de ceux que l’on connaît sans bien savoir d’où ils viennent. L’auditeur appréciera de les retrouver ici dans leur contexte original, avec orchestre, chœur et soliste, tel que Grieg l’avait conçu pour accompagner la création de la pièce de théâtre d’Ibsen.
Le Concerto pour piano n° 2 de Chostakovitch, qui n’a jamais été joué à l’Orchestre de Paris jusqu’ici, inaugure un mini-cycle puisque deux symphonies seront également au programme des concerts de cette fin de saison. C’est une œuvre qui respire la bonne humeur, bien dans la continuité de l’Ouverture de Maskarade. Chostakovitch l’écrivit en 1957 pour son fils Maxim, jeune pianiste. Bernstein la présenta à l’Ouest un an plus tard. Elle est transparente et pleine d’esprit : dans le troisième mouvement Chostakovitch va jusqu’à citer les exercices pour les doigts avec lesquels il avait encouragé les débuts de son fils au piano ! (fr)
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