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| - Hélène Tysman et l'Orchestre Pasdeloup proposent une immersion dans la riche histoire de la musique américaine, couronnée par la célèbre Symphonie "Du Nouveau Monde" de Dvorák.
De même qu’on peut à juste titre poser la question de l’existence d’une « culture américaine » on peut interroger le concept même de « musique américaine » — même si poser la question suffit, d’une certaine manière, à légitimer la chose. Il n’en demeure pas moins que cette « musique américaine » est tout aussi hétéroclite que le melting-pot qui (dé)compose sa population. Chaque compositeur au programme de ce concert a ainsi emprunté aux diverses traditions en présence pour élaborer un langage propre lequel, d’ailleurs, destiné à une œuvre en particulier, ne se retrouvera pas nécessairement dans les suivantes. À cet égard, la Neuvième Symphonie dite « Du Nouveau Monde » peut être considérée comme un authentique monument américain, bien que l’œuvre d’un compositeur indubitablement tchèque, Anton Dvorák. Ainsi en va-t-il également de Tromba Lontana d’Adams, qui peint comme un tableau archétypique des fanfares locales américaines, ou de Rhapsody in Blue de Gershwin, premier « concerto jazz ». Au reste, cela va souvent au-delà des seules inspirations strictement états-uniennes : les Orchestral Variations (1957) d’Aaron Copland sont une orchestration de ses Piano Variations (1930), composées sous l’influence de Nadia Boulanger. (fr)
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| - Hélène Tysman et l'Orchestre Pasdeloup proposent une immersion dans la riche histoire de la musique américaine, couronnée par la célèbre Symphonie "Du Nouveau Monde" de Dvorák.
De même qu’on peut à juste titre poser la question de l’existence d’une « culture américaine » on peut interroger le concept même de « musique américaine » — même si poser la question suffit, d’une certaine manière, à légitimer la chose. Il n’en demeure pas moins que cette « musique américaine » est tout aussi hétéroclite que le melting-pot qui (dé)compose sa population. Chaque compositeur au programme de ce concert a ainsi emprunté aux diverses traditions en présence pour élaborer un langage propre lequel, d’ailleurs, destiné à une œuvre en particulier, ne se retrouvera pas nécessairement dans les suivantes. À cet égard, la Neuvième Symphonie dite « Du Nouveau Monde » peut être considérée comme un authentique monument américain, bien que l’œuvre d’un compositeur indubitablement tchèque, Anton Dvorák. Ainsi en va-t-il également de Tromba Lontana d’Adams, qui peint comme un tableau archétypique des fanfares locales américaines, ou de Rhapsody in Blue de Gershwin, premier « concerto jazz ». Au reste, cela va souvent au-delà des seules inspirations strictement états-uniennes : les Orchestral Variations (1957) d’Aaron Copland sont une orchestration de ses Piano Variations (1930), composées sous l’influence de Nadia Boulanger. (fr)
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