Attributes | Values |
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type
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label
| - Domaine Privé John Adams : Orchestre Philharmonique de Radio France
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comment
| - Si la Harmonielehre de John Adams (1984-1985) se réfère par son titre au Traité d’harmonie de Schönberg, l’oeuvre, parmi les plus connues et les plus appréciées de son auteur, est loin d’être un simple hommage. Il s’agit plutôt d’une parodie « sans aucune intention de ridicule », comme l’écrit le compositeur. La distance respectueuse prise avec le père de la musique atonale inscrit Adams dans une tradition américaine dont ce concert propose quelques jalons, avec Ives et Barber.
C’est entre l’esthétique du collage chez Ives (The Fourth of July est un fascinant défilé de situations sonores bigarrées) et le lyrisme de Barber que se situent en effet les allusions de John Adams à Wagner et au romantisme tardif. Mais sa Harmonielehre est aussi le fruit d’un étrange rêve qui est à l’origine des accords martelés au début : « J’ai eu la vision d’un gigantesque pétrolier qui décollait de la surface de la baie de San Francisco et s’élançait dans les airs comme une fusée », raconte le compositeur. (fr)
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| - Domaine Privé John Adams : Orchestre Philharmonique de Radio France
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| - Ives, Barber, Stravinski, Adams
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| - Si la Harmonielehre de John Adams (1984-1985) se réfère par son titre au Traité d’harmonie de Schönberg, l’oeuvre, parmi les plus connues et les plus appréciées de son auteur, est loin d’être un simple hommage. Il s’agit plutôt d’une parodie « sans aucune intention de ridicule », comme l’écrit le compositeur. La distance respectueuse prise avec le père de la musique atonale inscrit Adams dans une tradition américaine dont ce concert propose quelques jalons, avec Ives et Barber.
C’est entre l’esthétique du collage chez Ives (The Fourth of July est un fascinant défilé de situations sonores bigarrées) et le lyrisme de Barber que se situent en effet les allusions de John Adams à Wagner et au romantisme tardif. Mais sa Harmonielehre est aussi le fruit d’un étrange rêve qui est à l’origine des accords martelés au début : « J’ai eu la vision d’un gigantesque pétrolier qui décollait de la surface de la baie de San Francisco et s’élançait dans les airs comme une fusée », raconte le compositeur. (fr)
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