Attributes | Values |
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type
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label
| - Chamber Orchestra of Europe
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comment
| - De Schumann à Ligeti en passant par Prokofiev, c’est un programme éclectique que proposent le chef d’orchestre finlandais Sakari Oramo et la violoniste
géorgienne Lisa Batiashvili.
Lorsqu’elle avait joué le Premier Concerto pour violon de Prokofiev en 2002 avec Sakari Oramo, qui était alors le chef principal de l’orchestre symphonique de Birmingham, le quotidien The Guardian saluait ainsi la performance de Lisa Batiashvili, qui n’avait que vingt-trois ans : « Elle a su créer un univers de contes de fées. » Quant à Alfred Brendel, il écrivit dans la Neue Zürcher Zeitung, après l’avoir entendue : « Chaque note chantait et parlait… Encore une fois il s’avère que les grands violonistes se font reconnaître jeunes. »
Mais, outre l’occasion d’entendre cette soliste hors pair dans un concerto qu’elle connaît bien, le Chamber Orchestra of Europe propose aussi la redécouverte d’une belle partition de Ligeti, injustement considérée comme une oeuvre de jeunesse : si son Concert Românesc de 1952 est encore tout imprégné de Bartók et de folklore, des pages comme le solo de cor du début du troisième mouvement, avec son accompagnement éthéré, annoncent déjà le Ligeti de la maturité. (fr)
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géorgienne Lisa Batiashvili.
Lorsqu’elle avait joué le Premier Concerto pour violon de Prokofiev en 2002 avec Sakari Oramo, qui était alors le chef principal de l’orchestre symphonique de Birmingham, le quotidien The Guardian saluait ainsi la performance de Lisa Batiashvili, qui n’avait que vingt-trois ans : « Elle a su créer un univers de contes de fées. » Quant à Alfred Brendel, il écrivit dans la Neue Zürcher Zeitung, après l’avoir entendue : « Chaque note chantait et parlait… Encore une fois il s’avère que les grands violonistes se font reconnaître jeunes. »
Mais, outre l’occasion d’entendre cette soliste hors pair dans un concerto qu’elle connaît bien, le Chamber Orchestra of Europe propose aussi la redécouverte d’une belle partition de Ligeti, injustement considérée comme une oeuvre de jeunesse : si son Concert Românesc de 1952 est encore tout imprégné de Bartók et de folklore, des pages comme le solo de cor du début du troisième mouvement, avec son accompagnement éthéré, annoncent déjà le Ligeti de la maturité. (fr)
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