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| - La pulse et le groove ne sont pas uniquement le propre du jazz ou du rock. La pulse est aussi universelle et diverse que la musique elle-même, comme le démontrent les musiciens des trois ensembles en résidence à la Philharmonie.
La musique est une et indivisible. C’est avec cette conviction partagée que les musiciens de l’Orchestre de Paris, de l’Ensemble intercontemporain et des Arts Florissant ont imaginé ce concert qui célèbre le rythme sous toutes ses formes. De ces rythmes entraînants qui donnaient l’élan à la danse, les compositeurs baroques déjà, et Johann Sebastian Bach parmi eux, tirent une première abstraction, laquelle est développée plus avant par les classiques puis les romantiques — et jusqu’à György Ligeti qui, dans Hungarian Rock, fait danser le clavecin sur le principe de la chaconne, non sans trouver une part de son inspiration dans les polyrythmies de l’Afrique subsaharienne. Pour les contemporains, le rythme devient en effet une jouissance à la fois intellectuelle et physique — c’est-à-dire non plus seulement l’un des éléments de l’invention, mais le lieu de l’invention elle-même. Dans ses pièces pour quatre timbales (jouées par un seul percussionniste), Carter compose ce qu’il appelle des « modulations métriques », c’est-à-dire des changements progressifs du tempo grâce à l’empilement de pulsations de fréquences différentes. Quant à Birtwistle dans Pulse Sampler, il demande au hautboïste de reproduire un même rythme mais en suivant le tempo toujours changeant que lui donne le percussionniste, ces fluctuations suscitant des variations musicales toujours renouvelées… (fr)
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| - Musiciens de l'Orchestre de Paris - Solistes de l'Ensemble intercontemporain - Musiciens des Arts Florissants
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| - La pulse et le groove ne sont pas uniquement le propre du jazz ou du rock. La pulse est aussi universelle et diverse que la musique elle-même, comme le démontrent les musiciens des trois ensembles en résidence à la Philharmonie.
La musique est une et indivisible. C’est avec cette conviction partagée que les musiciens de l’Orchestre de Paris, de l’Ensemble intercontemporain et des Arts Florissant ont imaginé ce concert qui célèbre le rythme sous toutes ses formes. De ces rythmes entraînants qui donnaient l’élan à la danse, les compositeurs baroques déjà, et Johann Sebastian Bach parmi eux, tirent une première abstraction, laquelle est développée plus avant par les classiques puis les romantiques — et jusqu’à György Ligeti qui, dans Hungarian Rock, fait danser le clavecin sur le principe de la chaconne, non sans trouver une part de son inspiration dans les polyrythmies de l’Afrique subsaharienne. Pour les contemporains, le rythme devient en effet une jouissance à la fois intellectuelle et physique — c’est-à-dire non plus seulement l’un des éléments de l’invention, mais le lieu de l’invention elle-même. Dans ses pièces pour quatre timbales (jouées par un seul percussionniste), Carter compose ce qu’il appelle des « modulations métriques », c’est-à-dire des changements progressifs du tempo grâce à l’empilement de pulsations de fréquences différentes. Quant à Birtwistle dans Pulse Sampler, il demande au hautboïste de reproduire un même rythme mais en suivant le tempo toujours changeant que lui donne le percussionniste, ces fluctuations suscitant des variations musicales toujours renouvelées… (fr)
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