| Attributes | Values |
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| label
| - Anna Netrebko - Massimo Giordano
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| comment
| - Après l’annulation du concert qu’elle devait partager avec le baryton Dmitri Hvorostovsky l’an dernier, Anna Netrebko a de nouveau pris rendez-vous avec le public de la Salle Pleyel pour un récital avec orchestre, accompagnée par le ténor italien Massimo Giordano. La soprano, formée au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg auprès du chef Valery Gergiev, affectionne cette forme particulière qu’est le récital à deux voix, la mieux à même, peut-être, de rendre au concert la tension de l’opéra. Anna Netrebko a ainsi longtemps partagé avec Rolando Villazón l’affiche de ses concerts – comme de nombreuses productions lyriques – et l’on peut supposer que le programme de ce soir sera sensiblement le même que celui qu’elle a fréquenté avec le ténor mexicain. Depuis ses débuts en 1994, le bel canto et plus généralement l’opéra italien des XIXe et XXe siècles représentent une part importante de son répertoire. Les rôles de Gilda (Rigoletto de Verdi), Musetta (La Bohème de Puccini) ou Giulietta (Les Capulets et les Montaigus de Bellini) lui restent attachés. L’enregistrement paru chez Deutsche Grammophon de ses duos avec Rolando Villazón (Duets) proposait également un détour par le répertoire français (Roméo et Juliette de Gounod, Manon de Massenet) et il serait étonnant qu’elle ne prête pas de nouveau sa voix à ces rôles où elle excelle. Aux côtés des deux solistes, l’Orchestre national d’Île-de-France, devenu un partenaire habitué des artistes lyriques, est dirigé par Keri-Lynn Wilson, chef d’orchestre canadienne très versée dans l’opéra italien. (fr)
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| - Orchestre National d'Île-de-France - Keri-Lynn Wilson
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| - Après l’annulation du concert qu’elle devait partager avec le baryton Dmitri Hvorostovsky l’an dernier, Anna Netrebko a de nouveau pris rendez-vous avec le public de la Salle Pleyel pour un récital avec orchestre, accompagnée par le ténor italien Massimo Giordano. La soprano, formée au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg auprès du chef Valery Gergiev, affectionne cette forme particulière qu’est le récital à deux voix, la mieux à même, peut-être, de rendre au concert la tension de l’opéra. Anna Netrebko a ainsi longtemps partagé avec Rolando Villazón l’affiche de ses concerts – comme de nombreuses productions lyriques – et l’on peut supposer que le programme de ce soir sera sensiblement le même que celui qu’elle a fréquenté avec le ténor mexicain. Depuis ses débuts en 1994, le bel canto et plus généralement l’opéra italien des XIXe et XXe siècles représentent une part importante de son répertoire. Les rôles de Gilda (Rigoletto de Verdi), Musetta (La Bohème de Puccini) ou Giulietta (Les Capulets et les Montaigus de Bellini) lui restent attachés. L’enregistrement paru chez Deutsche Grammophon de ses duos avec Rolando Villazón (Duets) proposait également un détour par le répertoire français (Roméo et Juliette de Gounod, Manon de Massenet) et il serait étonnant qu’elle ne prête pas de nouveau sa voix à ces rôles où elle excelle. Aux côtés des deux solistes, l’Orchestre national d’Île-de-France, devenu un partenaire habitué des artistes lyriques, est dirigé par Keri-Lynn Wilson, chef d’orchestre canadienne très versée dans l’opéra italien. (fr)
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