Attributes | Values |
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type
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label
| - Hélène Grimaud / Kammerorchester des Bayerischen Rundfunk
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comment
| - En 2008, Hélène Grimaud avait signé un disque remarqué, entièrement consacré
à Bach et à des transcriptions de Bach, avec notamment le Concerto BWV 1052.
« Pourquoi la musique de Bach touche-t-elle tout le monde et parle-t-elle à tout le monde ? », se demandait alors la pianiste, qui disait vouloir se rapprocher « du secret de son pouvoir universel ». Car, comme elle l’expliquait dans un entretien accordé à L’Express (le 30 octobre 2008) : « Bach est la Bible : je le sais depuis l’enfance, quand j’ai commencé à le jouer chaque jour, comme tant de pianistes. Nul artiste – Shakespeare excepté – n’a su comme lui transmettre chaque éclat du monde en une émotion aussi profonde et intime. Bach nous donne à entendre quelque chose qui s’apparente à la révélation de la vie, comme si sa musique était la conscience de la musique elle-même, son assurance, sa promesse. »
C’est aujourd’hui à la tête de l’orchestre de chambre de la radio bavaroise qu’elle joue Bach. Et pour donner la réplique à l’auteur des Concertos brandebourgeois, elle a choisi deux oeuvres concertantes du compositeur ukrainien Valentin Silvestrov, qui présente volontiers ses partitions comme une musique « métaphorique » : une musique d’après la musique. Der Bote (1996) est une page dépouillée pour cordes et piano ; Zwei Dialoguen mit Nachwort (2002) est dédié à Arvo Pärt. (fr)
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| - En 2008, Hélène Grimaud avait signé un disque remarqué, entièrement consacré
à Bach et à des transcriptions de Bach, avec notamment le Concerto BWV 1052.
« Pourquoi la musique de Bach touche-t-elle tout le monde et parle-t-elle à tout le monde ? », se demandait alors la pianiste, qui disait vouloir se rapprocher « du secret de son pouvoir universel ». Car, comme elle l’expliquait dans un entretien accordé à L’Express (le 30 octobre 2008) : « Bach est la Bible : je le sais depuis l’enfance, quand j’ai commencé à le jouer chaque jour, comme tant de pianistes. Nul artiste – Shakespeare excepté – n’a su comme lui transmettre chaque éclat du monde en une émotion aussi profonde et intime. Bach nous donne à entendre quelque chose qui s’apparente à la révélation de la vie, comme si sa musique était la conscience de la musique elle-même, son assurance, sa promesse. »
C’est aujourd’hui à la tête de l’orchestre de chambre de la radio bavaroise qu’elle joue Bach. Et pour donner la réplique à l’auteur des Concertos brandebourgeois, elle a choisi deux oeuvres concertantes du compositeur ukrainien Valentin Silvestrov, qui présente volontiers ses partitions comme une musique « métaphorique » : une musique d’après la musique. Der Bote (1996) est une page dépouillée pour cordes et piano ; Zwei Dialoguen mit Nachwort (2002) est dédié à Arvo Pärt. (fr)
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