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| - Latino, valse, boléro, polka, danse des morts… L’Orchestre du Conservatoire de Paris dirigé par Fayçal Karoui aborde la danse sous toutes ses formes et toutes ses origines géographiques, avec des compositeurs aussi variés que Arturo Márquez, Leonard Bernstein, Maurice Ravel, Jean Sibelius, Josef Strauss ou Franz Liszt.
La danse sous toutes ses formes, de toutes les latitudes, vécue, fantasmée, rêvée, explosive ou insidieuse. Latino avec le Mambo déchaîné du compositeur de West Side Story et l’œuvre hypnotique et ludique de Ravel. La Danzón n° 2 du Mexicain Márquez (né en 1950), popularisée par Gustavo Dudamel, s’est érigée en l’espace de vingt ans en incontournable de toute “fiesta” orchestrale. La reine des danses, la valse, s’incarne dans les atours lugubres et apocalyptiques de l’œuvre du Français et dans la fine mélancolie, tendrement animée en sa partie centrale, de celle de Sibelius. Après un détour piquant chez un des nombreux Strauss, le Dies Irae investit une Danse des Morts qui donne bien du fil à retordre au pianiste et s’impose comme la plus riche des pages concertantes de Liszt. (fr)
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La danse sous toutes ses formes, de toutes les latitudes, vécue, fantasmée, rêvée, explosive ou insidieuse. Latino avec le Mambo déchaîné du compositeur de West Side Story et l’œuvre hypnotique et ludique de Ravel. La Danzón n° 2 du Mexicain Márquez (né en 1950), popularisée par Gustavo Dudamel, s’est érigée en l’espace de vingt ans en incontournable de toute “fiesta” orchestrale. La reine des danses, la valse, s’incarne dans les atours lugubres et apocalyptiques de l’œuvre du Français et dans la fine mélancolie, tendrement animée en sa partie centrale, de celle de Sibelius. Après un détour piquant chez un des nombreux Strauss, le Dies Irae investit une Danse des Morts qui donne bien du fil à retordre au pianiste et s’impose comme la plus riche des pages concertantes de Liszt. (fr)
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