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| - Kristian Bezuidenhout interprète le Concerto pour piano no 22, un des plus mystérieusement séduisants de la série, avant l’envoûtante musique nocturne de la Septième de Mahler, sous la baguette de Daniel Harding.
Le succès du Concerto no 22 de Mozart fut immédiat – le deuxième mouvement dut être bissé à sa création en 1785. De fait, l’Andante, comme nombre de mouvements lents du compositeur, s’impose comme le centre névralgique de l’œuvre : Alfred Einstein y voit exprimés « l’affliction, une feinte consolation, le désespoir, la résignation ». En soliste, Kristian Bezuidenhout, un des plus subtils et inventifs pianistes actuels, auteur d’une intégrale des sonates de Mozart sur instrument d’époque. Les fascinantes musiques nocturnes de la Symphonie no 7 de Mahler virent le jour cent-vingt ans plus tard. Le thème de la nuit, cher aux romantiques, imprègne l’œuvre, la « danse d’ombres » du Scherzo en accentuant l’aspect fantastique. (fr)
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| - Daniel Harding - Kristian Bezuidenhout - Mahler, Mozart
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| - Kristian Bezuidenhout interprète le Concerto pour piano no 22, un des plus mystérieusement séduisants de la série, avant l’envoûtante musique nocturne de la Septième de Mahler, sous la baguette de Daniel Harding.
Le succès du Concerto no 22 de Mozart fut immédiat – le deuxième mouvement dut être bissé à sa création en 1785. De fait, l’Andante, comme nombre de mouvements lents du compositeur, s’impose comme le centre névralgique de l’œuvre : Alfred Einstein y voit exprimés « l’affliction, une feinte consolation, le désespoir, la résignation ». En soliste, Kristian Bezuidenhout, un des plus subtils et inventifs pianistes actuels, auteur d’une intégrale des sonates de Mozart sur instrument d’époque. Les fascinantes musiques nocturnes de la Symphonie no 7 de Mahler virent le jour cent-vingt ans plus tard. Le thème de la nuit, cher aux romantiques, imprègne l’œuvre, la « danse d’ombres » du Scherzo en accentuant l’aspect fantastique. (fr)
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