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label
| - Kammerorchester des Bayerischen Rundfunks - Hélène Grimaud - Sandrine Piau - Radoslaw Szulc
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comment
| - Hélène Grimaud aime les grands écarts. Dans l’un de ses récents enregistrements, la pianiste avait mêlé avec succès des œuvres de Beethoven, John Corigliano et Arvo Pärt. A la Salle Pleyel, elle a choisi de donner en l’espace de quelques jours deux concertos diamétralement opposés. Avec l’Orchestre de l’Académie Sainte Cécile dirigé par Antonio Pappano est programmé le Concerto pour piano n°1 de Johannes Brahms. Puissance de la construction, ampleur des phrasés… cette partition possède un véritable souffle épique. Hélène Grimaud nous a déjà prouvé à plusieurs occasions son affinité avec les œuvres de Brahms, dont elle exalte à merveille la profondeur de timbre, en particulier dans son usage de la main gauche. Son rubato, toujours fluide, convient également parfaitement à ce répertoire. L’Orchestre de l’Académie Sainte-Cécile et Antonio Pappano donneront en seconde partie la testamentaire Symphonie n°6 « Pathétique » de Tchaïkovski. Deux jours plus tard, la pianiste se lance dans Mozart, avec l’Orchestre de chambre de la Radio bavaroise. Du divin Amadeus, elle a choisi de donner le Concerto n°19 en fa majeur : un petit bijou d’élégance, d’esprit et d’inventivité. Dans cette œuvre où le dialogue est permanent entre l’orchestre (notamment les vents) et la soliste, Hélène Grimaud fera montre une fois de plus de ses grandes qualités de chambriste. Un sens de l’écoute que l’on retrouvera dans l’Air « Ch’io mi scordi di te », écrit pour soprano, piano et orchestre. Ce programme exclusivement mozartien s’achèvera avec la Symphonie n°40, donnée ici sans chef d’orchestre, sous l’impulsion du violon solo. (fr)
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