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| - Le monument que constituent les symphonies beethovéniennes n’a cessé d’être au coeur du répertoire des Berliner Philharmoniker.
Les Berliner Philharmoniker manifestent avec la musique de Beethoven une proximité précieuse. Leur premier concert, en 1882, était d’ailleurs déjà placé sous le signe du maître de Bonn, auquel ils n’ont par la suite jamais cessé de revenir : en 1913, pour leur premier enregistrement symphonique, avec Arthur Nikisch (Cinquième Symphonie) ; en 1963, pour l’inauguration de l’actuelle salle de leur Philharmonie, dessinée pour eux par Hans Scharoun (Neuvième Symphonie) ; au tout début du XXIe siècle, pour une nouvelle intégrale avec le regretté Abbado… Dans la longue et riche histoire de l’interprétation beethovénienne, les chefs qui ont eu l’honneur de prendre la tête des Berliner, tels Bülow, Furtwängler ou Karajan, ne tiennent d’ailleurs pas la dernière place, et de loin. À la Philharmonie, les musiciens proposent une intégrale des symphonies sous la direction de Simon Rattle, leur chef principal depuis 2002. En apothéose de ce cycle Beethoven à Paris, la Neuvième Symphonie, donnée avec le Rundfunkchor Berlin et un quatuor de solistes de haut vol – le modèle insurpassable pour des générations de compositeurs, “l’aboutissement et le couronnement des symphonies de Beethoven” selon Furtwängler, qui en louait la “hauteur d’inspiration” et la “puissante imagination musicale”. (fr)
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Les Berliner Philharmoniker manifestent avec la musique de Beethoven une proximité précieuse. Leur premier concert, en 1882, était d’ailleurs déjà placé sous le signe du maître de Bonn, auquel ils n’ont par la suite jamais cessé de revenir : en 1913, pour leur premier enregistrement symphonique, avec Arthur Nikisch (Cinquième Symphonie) ; en 1963, pour l’inauguration de l’actuelle salle de leur Philharmonie, dessinée pour eux par Hans Scharoun (Neuvième Symphonie) ; au tout début du XXIe siècle, pour une nouvelle intégrale avec le regretté Abbado… Dans la longue et riche histoire de l’interprétation beethovénienne, les chefs qui ont eu l’honneur de prendre la tête des Berliner, tels Bülow, Furtwängler ou Karajan, ne tiennent d’ailleurs pas la dernière place, et de loin. À la Philharmonie, les musiciens proposent une intégrale des symphonies sous la direction de Simon Rattle, leur chef principal depuis 2002. En apothéose de ce cycle Beethoven à Paris, la Neuvième Symphonie, donnée avec le Rundfunkchor Berlin et un quatuor de solistes de haut vol – le modèle insurpassable pour des générations de compositeurs, “l’aboutissement et le couronnement des symphonies de Beethoven” selon Furtwängler, qui en louait la “hauteur d’inspiration” et la “puissante imagination musicale”. (fr)
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