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| - Bach, pour Paul Klee, c’était Dieu. Il jouait lui-même nombre de ses oeuvres dont il possédait la partition, notamment ces sonates et partitas qu’interprète le jeune violoniste Sergey Khachatryan. Lors de ses cours au Bauhaus, Klee a proposé une sorte de transcription picturale d’une pièce de Bach, traduite pour ainsi dire en lignes d’épaisseur variable : bel hommage du maître de l’art moderne au maître du contrepoint baroque.
Car ce que Klee admirait le plus chez Bach, c’était l’écriture polyphonique. Il confiait, lapidaire, à son Journal, en juillet 1917 : « Le pur mouvement nous paraît banal. L’élément temporel doit être éliminé. Hier et aujourd’hui en tant que simultanéité. La polyphonie dans la musique pourrait répondre dans une certaine mesure à ce besoin. Mozart et Bach sont plus modernes que le XIXe siècle. » (fr)
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Car ce que Klee admirait le plus chez Bach, c’était l’écriture polyphonique. Il confiait, lapidaire, à son Journal, en juillet 1917 : « Le pur mouvement nous paraît banal. L’élément temporel doit être éliminé. Hier et aujourd’hui en tant que simultanéité. La polyphonie dans la musique pourrait répondre dans une certaine mesure à ce besoin. Mozart et Bach sont plus modernes que le XIXe siècle. » (fr)
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