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| - Après un récital Mendelssohn gravé pour Naïve en 2008, le pianiste Bertrand Chamayou se confronte à la virtuosité du Premier Concerto. Suite dansante, concerto grosso pour jazz band et orchestre, satires politiques et emprunts au jazz se font écho dans l’Allemagne de la fin des années 1920. Ses versions de Kurt Weill ont fait le tour du monde. Ute Lemper passe du cabaret allemand au musical avec brio.
Existe-t-il une nation plus musicienne que l’Allemagne ? De Bach à nos jours, l’Empire germanique a toujours placé la musique au coeur de sa pensée, de son éducation, de sa politique. Les compositeurs allemands ont quant à eux souvent puisé leur inspiration dans les contes et légendes ou la culture populaire, tel Mendelssohn, conviant, dans son concerto pour piano joué par l’excellent Bertrand Chamayou, les fées, les elfes et toutes les créatures du merveilleux fantastique. Brahms, à la fin du XIXe siècle, se souvient des racines populaires avec ses chants bohémiens et tziganes. Quant à Kurt Weill, il donne une couleur politique et sociale à sa musique, portée par les piques acerbes de son célèbre parolier, Bertolt Brecht. Il sera interprété par la spécialiste incontestée du cabaret berlinois, Ute Lemper. (fr)
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| - Quatuor Thymos / Musiciens de l’Orchestre de Paris
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| - Après un récital Mendelssohn gravé pour Naïve en 2008, le pianiste Bertrand Chamayou se confronte à la virtuosité du Premier Concerto. Suite dansante, concerto grosso pour jazz band et orchestre, satires politiques et emprunts au jazz se font écho dans l’Allemagne de la fin des années 1920. Ses versions de Kurt Weill ont fait le tour du monde. Ute Lemper passe du cabaret allemand au musical avec brio.
Existe-t-il une nation plus musicienne que l’Allemagne ? De Bach à nos jours, l’Empire germanique a toujours placé la musique au coeur de sa pensée, de son éducation, de sa politique. Les compositeurs allemands ont quant à eux souvent puisé leur inspiration dans les contes et légendes ou la culture populaire, tel Mendelssohn, conviant, dans son concerto pour piano joué par l’excellent Bertrand Chamayou, les fées, les elfes et toutes les créatures du merveilleux fantastique. Brahms, à la fin du XIXe siècle, se souvient des racines populaires avec ses chants bohémiens et tziganes. Quant à Kurt Weill, il donne une couleur politique et sociale à sa musique, portée par les piques acerbes de son célèbre parolier, Bertolt Brecht. Il sera interprété par la spécialiste incontestée du cabaret berlinois, Ute Lemper. (fr)
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