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| - Intégrale des quatuors de Beethoven par la fratrie Hagen, épisode III. Justesse d’intonation et profondeur d’interprétation servent de nouveau un programme des mieux choisis. Dans le dernier des opus offerts à Razumowsky (1807), le compositeur ouvre pour la première fois par une introduction lente sans tonalité définie, procédé qui deviendra la règle dans ses dernières productions. Vestige du menuet de cour façon Mozart ou Haydn, son grazioso en do majeur est balayé par la puissance de l’op. 130 (quatuor n°13) aux six mouvements (1826), marqué par sa célèbre Cavatine dont Artaria exigea toutefois que Beethoven en isole l’ahurissant finale, qui deviendra la Grande fugue, pic ultime de ses recherches, d’une complexité visionnaire, stupéfiante pour l’époque. (fr)
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| - Intégrale des quatuors à cordes de Beethoven
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| - Intégrale des quatuors de Beethoven par la fratrie Hagen, épisode III. Justesse d’intonation et profondeur d’interprétation servent de nouveau un programme des mieux choisis. Dans le dernier des opus offerts à Razumowsky (1807), le compositeur ouvre pour la première fois par une introduction lente sans tonalité définie, procédé qui deviendra la règle dans ses dernières productions. Vestige du menuet de cour façon Mozart ou Haydn, son grazioso en do majeur est balayé par la puissance de l’op. 130 (quatuor n°13) aux six mouvements (1826), marqué par sa célèbre Cavatine dont Artaria exigea toutefois que Beethoven en isole l’ahurissant finale, qui deviendra la Grande fugue, pic ultime de ses recherches, d’une complexité visionnaire, stupéfiante pour l’époque. (fr)
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