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type
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label
| - Orchestre de Paris - Kristjan Järvi - Yamandu Costa - Alessandro Kramer
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comment
| - Kristjan Järvi avait fait sensation lors de son premier concert à l’Orchestre de Paris. C’était en 2009, la Nuit des Mayas, un programme consacré à la musique des Amériques qui avait enflammé le Théâtre du Châtelet. Si Paavo Järvi, son frère aîné, a grandi en Estonie, Kristjan a absorbé la culture métissée new-yorkaise dès son adolescence. Ce nouveau concert promet d’être surprenant et animé !
Il débutera avec l’un des grands compositeurs mexicains d’aujourd’hui, Arturo Márquez, et l’une de ces Danzón, qui commence langoureusement pour s’animer de plus en plus, électrisée par les rythmes qui la traversent.
L’orchestre s’immerge dans le Brésil, retrouvant le guitariste Yamandú Costa, qui était lui aussi de cette fameuse Nuit des Mayas. Son hommage à Ernesto Nazareth va de soi : ce fut le plus emblématique des compositeurs brésiliens au tournant du XXe siècle. Sa suite Passeios a été créée en mai 2010 à Porto Alegre, la ville du guitariste. Elle associe à l’orchestre la guitare et l’accordéon, autre instrument - on le sait moins - essentiel de la musique populaire brésilienne.
Aaron Copland viendra achever la fête. La première fois que l’Orchestre de Paris joua sa musique, c’était sous sa propre baguette, en 1980 ! Le compositeur new-yorkais reste pourtant méconnu, voici donc sa symphonie la plus appréciée dans le monde. Rythmique, intense, chantante, elle ferait, taillée en morceaux, une belle collection de génériques et de musique de film (Copland en écrivit bon nombre). Vu du côté européen, on pourrait dire de cette symphonie : c’est un Chostakovitch heureux ! (fr)
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Il débutera avec l’un des grands compositeurs mexicains d’aujourd’hui, Arturo Márquez, et l’une de ces Danzón, qui commence langoureusement pour s’animer de plus en plus, électrisée par les rythmes qui la traversent.
L’orchestre s’immerge dans le Brésil, retrouvant le guitariste Yamandú Costa, qui était lui aussi de cette fameuse Nuit des Mayas. Son hommage à Ernesto Nazareth va de soi : ce fut le plus emblématique des compositeurs brésiliens au tournant du XXe siècle. Sa suite Passeios a été créée en mai 2010 à Porto Alegre, la ville du guitariste. Elle associe à l’orchestre la guitare et l’accordéon, autre instrument - on le sait moins - essentiel de la musique populaire brésilienne.
Aaron Copland viendra achever la fête. La première fois que l’Orchestre de Paris joua sa musique, c’était sous sa propre baguette, en 1980 ! Le compositeur new-yorkais reste pourtant méconnu, voici donc sa symphonie la plus appréciée dans le monde. Rythmique, intense, chantante, elle ferait, taillée en morceaux, une belle collection de génériques et de musique de film (Copland en écrivit bon nombre). Vu du côté européen, on pourrait dire de cette symphonie : c’est un Chostakovitch heureux ! (fr)
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