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| - Alan Gilbert, premier natif de New York à assumer la fonction de chef pour le prestigieux New York Philharmonic, propose avec son orchestre un programme de pure fantaisie dicté par le rêve et l’imaginaire le plus raffiné. Il associe dans un même concert les compositions d’Esa-Pekka Salonen, de Maurice Ravel et de Richard Strauss.
Ce concert nous présente un des plus glorieux orchestres du monde et son chef, l’inventif et tranquillement audacieux Alan Gilbert, dans un programme de pure fantaisie, règne du rêve et de l’imaginaire le plus raffiné. L’œuvre brillante d’Esa-Pekka Salonen évoque parfois le Sacre du printemps par ses rythmes implacables, mais aussi Ravel, en ses gracieuses volutes dédiées aux bois, dansant sur un tapis lumineux de cordes. On ne s’étonnera donc pas de retrouver également deux purs délices signés du compositeur français. A la féerie inhérente à l’un des contes des Mille et une nuits font place les valses les plus sophistiquées qui soient, qui s’enfoncent peu à peu dans les profondeurs du souvenir. La grandeur de Richard Strauss, son métier impeccable, apportent la plus étincelante des conclusions. (fr)
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| - Alan Gilbert - Joyce DiDonato
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| - Alan Gilbert, premier natif de New York à assumer la fonction de chef pour le prestigieux New York Philharmonic, propose avec son orchestre un programme de pure fantaisie dicté par le rêve et l’imaginaire le plus raffiné. Il associe dans un même concert les compositions d’Esa-Pekka Salonen, de Maurice Ravel et de Richard Strauss.
Ce concert nous présente un des plus glorieux orchestres du monde et son chef, l’inventif et tranquillement audacieux Alan Gilbert, dans un programme de pure fantaisie, règne du rêve et de l’imaginaire le plus raffiné. L’œuvre brillante d’Esa-Pekka Salonen évoque parfois le Sacre du printemps par ses rythmes implacables, mais aussi Ravel, en ses gracieuses volutes dédiées aux bois, dansant sur un tapis lumineux de cordes. On ne s’étonnera donc pas de retrouver également deux purs délices signés du compositeur français. A la féerie inhérente à l’un des contes des Mille et une nuits font place les valses les plus sophistiquées qui soient, qui s’enfoncent peu à peu dans les profondeurs du souvenir. La grandeur de Richard Strauss, son métier impeccable, apportent la plus étincelante des conclusions. (fr)
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