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| - David Grimal poursuit l’exploration des grands concertos pour violon joués sans chef, comme le veut le projet de l’orchestre Les Dissonances, fondé en 2004.
Après leur concert Beethoven de l’automne 2015, les Dissonances se tournent cette fois vers Tchaïkovski. Le Concerto pour violon de ce dernier leur donne ainsi l’occasion de poursuivre dans cette voie où le soliste (David Grimal) échange avec les musiciens sans le truchement d’un chef, comme dans leur intégrale des concertos de Mozart enregistrée en live à la Cité de la musique et récemment éditée sous leur label. Ceux pour qui rien n’est jamais figé (ils jouent ainsi Mozart avec des violons modernes mais des archets d’époque, avec des cors naturels mais des bois d’aujourd’hui), qui se plaisent à remettre en question et en perspective l’histoire de l’interprétation, devraient donner des lectures rafraîchissantes de ces piliers du répertoire romantique que sont le Concerto pour violon et la Quatrième Symphonie, que Tchaïkovski présentait comme “la confession musicale de l’âme qui est passée par beaucoup de tourments”. (fr)
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| - Les Dissonances - David Grimal
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| - David Grimal poursuit l’exploration des grands concertos pour violon joués sans chef, comme le veut le projet de l’orchestre Les Dissonances, fondé en 2004.
Après leur concert Beethoven de l’automne 2015, les Dissonances se tournent cette fois vers Tchaïkovski. Le Concerto pour violon de ce dernier leur donne ainsi l’occasion de poursuivre dans cette voie où le soliste (David Grimal) échange avec les musiciens sans le truchement d’un chef, comme dans leur intégrale des concertos de Mozart enregistrée en live à la Cité de la musique et récemment éditée sous leur label. Ceux pour qui rien n’est jamais figé (ils jouent ainsi Mozart avec des violons modernes mais des archets d’époque, avec des cors naturels mais des bois d’aujourd’hui), qui se plaisent à remettre en question et en perspective l’histoire de l’interprétation, devraient donner des lectures rafraîchissantes de ces piliers du répertoire romantique que sont le Concerto pour violon et la Quatrième Symphonie, que Tchaïkovski présentait comme “la confession musicale de l’âme qui est passée par beaucoup de tourments”. (fr)
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