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| - Interprètes hors pair du répertoire du début du vingtième siècle, Bernarda Fink et Michael Schade nous transportent dans l’univers irréel du Chant de la terre de Gustav Mahler.
Voici une étonnante version réalisée par Arnold Schönberg du Chant de la terre (Das Lied von der Erde), ces six immenses lieder inspirés en partie par la lecture d’un recueil de poésies chinoises. S’agit-il d’une symphonie avec voix ou d’un cycle de six mélodies ? La diversité des sentiments exprimés se révèle dans le choix des voix, un choix « cornélien ». Héroïque dans l’introduction, le ténor devient lyrique dans le troisième lied. En choisissant des poèmes chinois adaptés en allemand par Hans Bethge, Mahler ne cherche pas tant l’exotisme que l’étonnement face aux beautés terrestres : « La terre respire, toute calme et ensommeillée… Les oiseaux sont blottis, silencieux, sur leurs branches. Le monde s’endort. » De la même époque, la Première Symphonie de chambre de Schönberg porte l’univers tonal jusqu’à sa frontière la plus extrême. Une œuvre bouleversante. (fr)
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| - Orchestre de Chambre de Paris
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| - Interprètes hors pair du répertoire du début du vingtième siècle, Bernarda Fink et Michael Schade nous transportent dans l’univers irréel du Chant de la terre de Gustav Mahler.
Voici une étonnante version réalisée par Arnold Schönberg du Chant de la terre (Das Lied von der Erde), ces six immenses lieder inspirés en partie par la lecture d’un recueil de poésies chinoises. S’agit-il d’une symphonie avec voix ou d’un cycle de six mélodies ? La diversité des sentiments exprimés se révèle dans le choix des voix, un choix « cornélien ». Héroïque dans l’introduction, le ténor devient lyrique dans le troisième lied. En choisissant des poèmes chinois adaptés en allemand par Hans Bethge, Mahler ne cherche pas tant l’exotisme que l’étonnement face aux beautés terrestres : « La terre respire, toute calme et ensommeillée… Les oiseaux sont blottis, silencieux, sur leurs branches. Le monde s’endort. » De la même époque, la Première Symphonie de chambre de Schönberg porte l’univers tonal jusqu’à sa frontière la plus extrême. Une œuvre bouleversante. (fr)
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