Attributes | Values |
---|
type
| |
label
| |
comment
| - Les Arts florissants proposent un programme d’airs de cour de divers auteurs du baroque français, reliés par le fil rouge que constitue le recueil de Michel Lambert paru chez Christophe Ballard en 1689. La réputation de ce musicien admiré entre tous fut en effet largement établie grâce aux collections d’airs avec basse continue qu’il fit imprimer et qui diffusèrent son art. Nommé « maître de la musique de la chambre du roi » en mai 1661, un poste qu’il conserva jusqu’à sa mort en 1696, Lambert collabora aussi avec son gendre, Lully, pour les ballets duquel il écrivit divers « récits ».
Comparé au mythique Amphion par ses contemporains, Lambert faisait pour ses airs l’objet de louanges comme celle-ci, rédigée par un chroniqueur de l’époque relatant les festivités du mariage du duc de Chevreuse, en février 1667 : « Et Lambert […] sut si noblement marier / Sa Voix et son Théorbe ensemble / […] Que ses Auditeurs ébaudis / Se crurent dans le Paradis. » (fr)
|
P69 has association with
| |
prov:wasDerivedFrom
| |
P2 has type
| |
U8 foresees time-span
| |
prov:wasAttributedTo
| |
prov:wasGeneratedBy
| |
U77 foresees performing plan
| |
P102 has title
| |
U7 foresees place at
| |
U67 has subtitle
| |
dc:identifier
| |
P3 has note
| - Les Arts florissants proposent un programme d’airs de cour de divers auteurs du baroque français, reliés par le fil rouge que constitue le recueil de Michel Lambert paru chez Christophe Ballard en 1689. La réputation de ce musicien admiré entre tous fut en effet largement établie grâce aux collections d’airs avec basse continue qu’il fit imprimer et qui diffusèrent son art. Nommé « maître de la musique de la chambre du roi » en mai 1661, un poste qu’il conserva jusqu’à sa mort en 1696, Lambert collabora aussi avec son gendre, Lully, pour les ballets duquel il écrivit divers « récits ».
Comparé au mythique Amphion par ses contemporains, Lambert faisait pour ses airs l’objet de louanges comme celle-ci, rédigée par un chroniqueur de l’époque relatant les festivités du mariage du duc de Chevreuse, en février 1667 : « Et Lambert […] sut si noblement marier / Sa Voix et son Théorbe ensemble / […] Que ses Auditeurs ébaudis / Se crurent dans le Paradis. » (fr)
|
foaf:isPrimaryTopicOf
| |