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| - C’est assurément l’un des violonistes américains les plus actifs à l’heure actuelle. Après avoir gravé des versions remarquées des grands concertos romantiques, Joshua Bell vient d’enregistrer les célébrissimes Quatre saisons de Vivaldi. En parallèle, il poursuit une belle carrière dans le milieu du cinéma, interprétant de nombreuses bandes originales, notamment celle du film Defiance (avec Daniel Craig) sorti en 2008. Pour autant, ce natif de l’Indiana ne néglige pas les concerts plus traditionnels, avec orchestre (il a joué sous la direction des plus grands, de Riccardo Muti à Esa-Pekka Salonen) ou en récital, comme c’est le cas à la Salle Pleyel. Sa sonorité, moelleuse et élégante (il joue sur un Stradivarius de 1713), sert un sens du phrasé toujours sensible et inspiré. Celui qui côtoie aussi bien le chef issu du mouvement baroque Roger Norrington que la rock star Sting possède une souplesse de jeu remarquable. Le public qui se pressera à son récital parisien regrettera seulement de n’avoir pas fréquenté le métro de Washington un jour de janvier 2007. Suivant l’idée d’un chroniqueur du Washington Post, Joshua Bell avait alors joué dans un couloir pendant un peu moins d’une heure. Sur le millier de voyageurs à être passé devant le violoniste, seulement sept s’étaient arrêtés et un seul l’avait reconnu… (fr)
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| - C’est assurément l’un des violonistes américains les plus actifs à l’heure actuelle. Après avoir gravé des versions remarquées des grands concertos romantiques, Joshua Bell vient d’enregistrer les célébrissimes Quatre saisons de Vivaldi. En parallèle, il poursuit une belle carrière dans le milieu du cinéma, interprétant de nombreuses bandes originales, notamment celle du film Defiance (avec Daniel Craig) sorti en 2008. Pour autant, ce natif de l’Indiana ne néglige pas les concerts plus traditionnels, avec orchestre (il a joué sous la direction des plus grands, de Riccardo Muti à Esa-Pekka Salonen) ou en récital, comme c’est le cas à la Salle Pleyel. Sa sonorité, moelleuse et élégante (il joue sur un Stradivarius de 1713), sert un sens du phrasé toujours sensible et inspiré. Celui qui côtoie aussi bien le chef issu du mouvement baroque Roger Norrington que la rock star Sting possède une souplesse de jeu remarquable. Le public qui se pressera à son récital parisien regrettera seulement de n’avoir pas fréquenté le métro de Washington un jour de janvier 2007. Suivant l’idée d’un chroniqueur du Washington Post, Joshua Bell avait alors joué dans un couloir pendant un peu moins d’une heure. Sur le millier de voyageurs à être passé devant le violoniste, seulement sept s’étaient arrêtés et un seul l’avait reconnu… (fr)
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