| Attributes | Values |
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| type
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| label
| - London Symphony Orchestra - Valery Gergiev - Karen Cargill
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| comment
| - Suscité par la lecture du roman historique de Walter Scott (1814), qui décrit la lutte du roi George II contre les Jacobites emmenés par Charles Stuart en 1745, Waverley constitue la première grande ouverture d’Hector Berlioz (op. 1, 1828). Symbole de sa troisième tentative infructueuse pour l’obtention du Premier Grand Prix de Rome, la cantate Cléopâtre – tel en est le vrai titre – construite en 1829 sur un texte de Pierre-Ange Vieillard, sera dite par la soprane écossaise Karen Cargill, désormais familière du Festival de Lucerne où elle s’est révélée. Pièce autobiographique majeure née de son amour difficile pour l’actrice irlandaise Harriet Smithson, pierre de touche de la direction d’orchestre, la Symphonie fantastique (« Épisodes de la vie d’un artiste ») fut créée en 1830, à Paris, devant Heinrich Heine.
Valery Gergiev, qui a succédé en 2006 au grand berliozien Sir Colin Davis à la tête du London Symphony Orchestra, a lui aussi des affinités avec le compositeur français. Il place en effet sa musique au cœur de son répertoire, notamment avec l’Orchestre du Théâtre Mariinsky dont il est également le directeur musical. Avec la phalange londonienne, il donnera la flamboyante Symphonie fantastique, l’une des œuvres les plus célèbres de Berlioz. En prélude à ce plat de résistance sont programmées deux raretés : Waverley, une ouverture inspirée d’un roman de Walter Scott, écrivain très en vogue chez les compositeurs romantiques, et Cléopâtre, l’une des quatre cantates composées par Berlioz pour le concours du Prix de Rome, au charme délicieusement archaïque. (fr)
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Valery Gergiev, qui a succédé en 2006 au grand berliozien Sir Colin Davis à la tête du London Symphony Orchestra, a lui aussi des affinités avec le compositeur français. Il place en effet sa musique au cœur de son répertoire, notamment avec l’Orchestre du Théâtre Mariinsky dont il est également le directeur musical. Avec la phalange londonienne, il donnera la flamboyante Symphonie fantastique, l’une des œuvres les plus célèbres de Berlioz. En prélude à ce plat de résistance sont programmées deux raretés : Waverley, une ouverture inspirée d’un roman de Walter Scott, écrivain très en vogue chez les compositeurs romantiques, et Cléopâtre, l’une des quatre cantates composées par Berlioz pour le concours du Prix de Rome, au charme délicieusement archaïque. (fr)
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