About: Les Arts Florissants     Goto   Sponge   NotDistinct   Permalink

An Entity of Type : mus:M26_Foreseen_Performance, within Data Space : data.doremus.org associated with source document(s)

AttributesValues
type
label
  • Les Arts Florissants
comment
  • Écrit en 1587, le Premier livre de madrigaux de Monteverdi est dédié au comte Marco Verità, poète et mécène de Vérone, auprès duquel Monteverdi cherchait peut-être à se faire engager. Monteverdi avait dix-neuf ans et sa dédicace offre au comte un ensemble de « compositions juvéniles », comparées à des « fleurs printanières ». Le recueil porte la marque de l’influence de Marenzio, avec son style pastoral, et de Luzzaschi, avec son écriture dissonante, comme en témoigne Baci soavi e cari, sur un poème de Guarini. L’une des pièces les plus connues du livre est sans doute La vaga pastorella, qui s’ouvre sur une série de bonds décrivant la bergère dans un champ, avant que la musique ne bascule dans l’introspection. Car la légèreté ou la joie, ici comme ailleurs, alternent avec les larmes : dans Filli cara ed amata, l’exclamation Ahi ! (« hélas ! ») appelle un passage plein de dissonances insistantes… Ces concerts s'inscrivent dans le cadre d'une intégrale des Madrigaux de Monteverdi présentée sur trois saisons. (fr)
P69 has association with
prov:wasDerivedFrom
P2 has type
  • concert (fr)
U8 foresees time-span
prov:wasAttributedTo
prov:wasGeneratedBy
U77 foresees performing plan
P102 has title
  • Les Arts Florissants
U7 foresees place at
dc:identifier
  • e11471
P3 has note
  • Écrit en 1587, le Premier livre de madrigaux de Monteverdi est dédié au comte Marco Verità, poète et mécène de Vérone, auprès duquel Monteverdi cherchait peut-être à se faire engager. Monteverdi avait dix-neuf ans et sa dédicace offre au comte un ensemble de « compositions juvéniles », comparées à des « fleurs printanières ». Le recueil porte la marque de l’influence de Marenzio, avec son style pastoral, et de Luzzaschi, avec son écriture dissonante, comme en témoigne Baci soavi e cari, sur un poème de Guarini. L’une des pièces les plus connues du livre est sans doute La vaga pastorella, qui s’ouvre sur une série de bonds décrivant la bergère dans un champ, avant que la musique ne bascule dans l’introspection. Car la légèreté ou la joie, ici comme ailleurs, alternent avec les larmes : dans Filli cara ed amata, l’exclamation Ahi ! (« hélas ! ») appelle un passage plein de dissonances insistantes… Ces concerts s'inscrivent dans le cadre d'une intégrale des Madrigaux de Monteverdi présentée sur trois saisons. (fr)
foaf:isPrimaryTopicOf
Faceted Search & Find service v1.16.120 as of Nov 25 2024


Alternative Linked Data Documents: ODE     Content Formats:   [cxml] [csv]     RDF   [text] [turtle] [ld+json] [rdf+json] [rdf+xml]     ODATA   [atom+xml] [odata+json]     Microdata   [microdata+json] [html]    About   
This material is Open Knowledge   W3C Semantic Web Technology [RDF Data]
OpenLink Virtuoso version 07.20.3240 as of Nov 25 2024, on Linux (x86_64-pc-linux-musl), Single-Server Edition (126 GB total memory, 7 GB memory in use)
Data on this page belongs to its respective rights holders.
Virtuoso Faceted Browser Copyright © 2009-2025 OpenLink Software