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| - Née en 1968, la compositrice autrichienne Olga Neuwirth s’inspire volontiers des arts visuels – peinture et cinéma – pour imaginer des formes musicales inédites, des manières neuves de raconter.
Le titre de Hooloomooloo (1996-1997, pour ensemble et CD d’accompagnement) est emprunté à celui d’un triptyque de l’artiste américain Frank Stella : il s’agit ici de retrouver, dans l’écriture musicale, les illusions de reliefs que le peintre crée sur la surface de la toile. Partant d’un tableau, Olga Neuwirth invente ainsi un jeu de perspectives multiples entre les sonorités des instruments, en les répartissant en plusieurs groupes sur la scène et en modifiant leur accord ou en « préparant » le piano (avec du silicone et de la gomme).
Pour Lost Highway Suite, en 2003, la compositrice a collaboré avec l’écrivaine Elfriede Jelinek afin d’adapter le film culte de David Lynch à la scène de l’opéra. « J’étais fascinée, explique-t-elle, par la façon radicale dont Lynch et Gifford [le coscénariste] ont traité la narration ». La suite tirée de l’opéra est comme l’écho de ce récit trouble et troublant. (fr)
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| - Née en 1968, la compositrice autrichienne Olga Neuwirth s’inspire volontiers des arts visuels – peinture et cinéma – pour imaginer des formes musicales inédites, des manières neuves de raconter.
Le titre de Hooloomooloo (1996-1997, pour ensemble et CD d’accompagnement) est emprunté à celui d’un triptyque de l’artiste américain Frank Stella : il s’agit ici de retrouver, dans l’écriture musicale, les illusions de reliefs que le peintre crée sur la surface de la toile. Partant d’un tableau, Olga Neuwirth invente ainsi un jeu de perspectives multiples entre les sonorités des instruments, en les répartissant en plusieurs groupes sur la scène et en modifiant leur accord ou en « préparant » le piano (avec du silicone et de la gomme).
Pour Lost Highway Suite, en 2003, la compositrice a collaboré avec l’écrivaine Elfriede Jelinek afin d’adapter le film culte de David Lynch à la scène de l’opéra. « J’étais fascinée, explique-t-elle, par la façon radicale dont Lynch et Gifford [le coscénariste] ont traité la narration ». La suite tirée de l’opéra est comme l’écho de ce récit trouble et troublant. (fr)
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