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type
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label
| - Orchestre de Paris - Alexander Vedernikov - Boris Berezovsky
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comment
| - Kirill Petrenko souffrant, a dû annuler sa venue au concert de mercredi 13 et jeudi 14 juin et sera remplacé par Alexander Vedernikov.
Le programme est inchangé.
Russie, début de siècle. Prokofiev écrit pour lui-même un concerto absolument diabolique, Scriabine imagine une symphonie divine.
Boris Berezovsky, colosse acharné, met un point d’honneur à dominer la partition de Prokofiev. Il vient à Paris l’affronter de nouveau. Un match à ne pas manquer.
La suite du concert reste au niveau superlatif. La Troisième symphonie de Scriabine, son Divin Poème, embrase un orchestre somptueux que le suprême wagnérien Kirill Petrenko devrait magnifier. Le compositeur du Ring et de Tristan et Isolde est en effet clairement le modèle de Scriabine dont l’harmonie imprévisible irradie en tous sens. Mais le maître semblerait presque timide, tant l’élève déploie d’énergie, inépuisable, dans sa musique bouillonnante, dans sa candide adoration des sons. Luttes, Voluptés et Jeu divin sont les trois parties de cette œuvre ascensionnelle. Inaugurée par de vrombissants trombones, elle traverse toutes les sphères, des ondoiements de harpe à la fournaise des cuivres, des chants d’oiseaux aux explosions aveuglantes. (fr)
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| - Kirill Petrenko souffrant, a dû annuler sa venue au concert de mercredi 13 et jeudi 14 juin et sera remplacé par Alexander Vedernikov.
Le programme est inchangé.
Russie, début de siècle. Prokofiev écrit pour lui-même un concerto absolument diabolique, Scriabine imagine une symphonie divine.
Boris Berezovsky, colosse acharné, met un point d’honneur à dominer la partition de Prokofiev. Il vient à Paris l’affronter de nouveau. Un match à ne pas manquer.
La suite du concert reste au niveau superlatif. La Troisième symphonie de Scriabine, son Divin Poème, embrase un orchestre somptueux que le suprême wagnérien Kirill Petrenko devrait magnifier. Le compositeur du Ring et de Tristan et Isolde est en effet clairement le modèle de Scriabine dont l’harmonie imprévisible irradie en tous sens. Mais le maître semblerait presque timide, tant l’élève déploie d’énergie, inépuisable, dans sa musique bouillonnante, dans sa candide adoration des sons. Luttes, Voluptés et Jeu divin sont les trois parties de cette œuvre ascensionnelle. Inaugurée par de vrombissants trombones, elle traverse toutes les sphères, des ondoiements de harpe à la fournaise des cuivres, des chants d’oiseaux aux explosions aveuglantes. (fr)
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