| Attributes | Values |
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| type
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| label
| - Remember Shakti - John McLaughlin - Zakir Hussain
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| comment
| - Dans les multiples vies musicales de John McLaughlin, Shakti occupe une place à part, une place majeure. Lorsqu’il créa ce quartet en 1974, l’ancien guitariste britannique de Miles Davis, entouré de musiciens indiens parmi lesquels le démentiel percussionniste Zakir Hussain, offrit bien plus qu’une simple fusion entre jazz occidental et musique indienne. Shakti, qu’il reforme ici pour célébrer ce quarantième anniversaire, réunissait aussi les traditions musicales hindustanies (Inde du Nord) et carnatiques (Inde du Sud). Une fusion supplémentaire qui fait de ce groupe virtuose, doté d’une force et d’une puissance rares, l’ambassadeur d’un dialogue totale, spirituel et musical. Un dialogue toujours aussi moderne, quatre décennies après avoir été entamé.
En 1975, John McLaughlin monte un power group destiné à combiner le langage et les instruments de la musique indienne avec des éléments du jazz, mais aussi à créer une fusion entre musiques du sud et du nord de l’Inde, hindoustanie et carnatique. Ce sera Shakti, un mot sanskrit qui signifie la force, la puissance – ou la déesse qui la symbolise. Deux ans plus tard, les membres du quintet allaient suivre des chemins séparés, mais le groupe avait marqué le son de l’époque. Vingt ans après, l’envie de prolonger cette expérience titille le guitariste et Zakir Hussain : Remember Shakti prend le départ sur la ligne d’arrivée précédente. Entre-temps, John McLaughlin s’est plongé dans l’étude approfondie de la musique indienne. Le feeling et la transe. (fr)
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| - Remember Shakti - John McLaughlin - Zakir Hussain
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| - Dans les multiples vies musicales de John McLaughlin, Shakti occupe une place à part, une place majeure. Lorsqu’il créa ce quartet en 1974, l’ancien guitariste britannique de Miles Davis, entouré de musiciens indiens parmi lesquels le démentiel percussionniste Zakir Hussain, offrit bien plus qu’une simple fusion entre jazz occidental et musique indienne. Shakti, qu’il reforme ici pour célébrer ce quarantième anniversaire, réunissait aussi les traditions musicales hindustanies (Inde du Nord) et carnatiques (Inde du Sud). Une fusion supplémentaire qui fait de ce groupe virtuose, doté d’une force et d’une puissance rares, l’ambassadeur d’un dialogue totale, spirituel et musical. Un dialogue toujours aussi moderne, quatre décennies après avoir été entamé.
En 1975, John McLaughlin monte un power group destiné à combiner le langage et les instruments de la musique indienne avec des éléments du jazz, mais aussi à créer une fusion entre musiques du sud et du nord de l’Inde, hindoustanie et carnatique. Ce sera Shakti, un mot sanskrit qui signifie la force, la puissance – ou la déesse qui la symbolise. Deux ans plus tard, les membres du quintet allaient suivre des chemins séparés, mais le groupe avait marqué le son de l’époque. Vingt ans après, l’envie de prolonger cette expérience titille le guitariste et Zakir Hussain : Remember Shakti prend le départ sur la ligne d’arrivée précédente. Entre-temps, John McLaughlin s’est plongé dans l’étude approfondie de la musique indienne. Le feeling et la transe. (fr)
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