Attributes | Values |
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type
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label
| - La Flûte enchantée de Mozart
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comment
| - L’an dernier, à même époque, René Jacobs dirigeait Idomeneo à la tête de l’Orchestre baroque de Fribourg. Avec cette fois l’Akademie für alte Musik Berlin sous sa direction, le chef belge revient Salle Pleyel pour l’ultime chef-d’oeuvre lyrique de Mozart, La Flûte enchantée, toujours en version de concert. Cette formule a l’avantage de focaliser l’attention sur la musique et sur le chant plutôt que sur la scène et sur le texte, ce qui n’est guère gênant dans le cas d’Idoménée et de son livret médiocre. Ce ne l’est guère plus pour La Flûte enchantée dont le livret est certes meilleur mais ne propose pas pour autant de cheminement dramatique tel qu’il nécessite une mise en scène. L’imagerie qu’il véhicule, articulation de thèmes universels (la Vérité triomphante, l’Amitié, le Pardon…), est suffisamment traduite par la musique.
Le RIAS Kammerchor avait l’an dernier illuminé Idomeneo. Il est de nouveau de la partie pour cette Flûte enchantée où les choeurs ont un grand rôle, en particulier au second acte, celui des épreuves initiatiques subies par Tamino. René Jacobs s’est entouré d’une distribution jeune, composée de chanteurs avec qui il a déjà travaillé (tous participent à la production scénique de La Flûte enchantée au Festival d’Aix-en-Provence en juillet 2009). On attend ainsi beaucoup du Tamino de Daniel Behle ainsi que de la Reine de la Nuit d’ Anna-Kristiina Kaapola, qui a déjà eu l’occasion de chanter le rôle sous la direction de Jean-Christophe Spinosi et de Riccardo Muti notamment. (fr)
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| - René Jacobs - Akademie für Alte Musik Berlin - RIAS Kammerchor
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| - L’an dernier, à même époque, René Jacobs dirigeait Idomeneo à la tête de l’Orchestre baroque de Fribourg. Avec cette fois l’Akademie für alte Musik Berlin sous sa direction, le chef belge revient Salle Pleyel pour l’ultime chef-d’oeuvre lyrique de Mozart, La Flûte enchantée, toujours en version de concert. Cette formule a l’avantage de focaliser l’attention sur la musique et sur le chant plutôt que sur la scène et sur le texte, ce qui n’est guère gênant dans le cas d’Idoménée et de son livret médiocre. Ce ne l’est guère plus pour La Flûte enchantée dont le livret est certes meilleur mais ne propose pas pour autant de cheminement dramatique tel qu’il nécessite une mise en scène. L’imagerie qu’il véhicule, articulation de thèmes universels (la Vérité triomphante, l’Amitié, le Pardon…), est suffisamment traduite par la musique.
Le RIAS Kammerchor avait l’an dernier illuminé Idomeneo. Il est de nouveau de la partie pour cette Flûte enchantée où les choeurs ont un grand rôle, en particulier au second acte, celui des épreuves initiatiques subies par Tamino. René Jacobs s’est entouré d’une distribution jeune, composée de chanteurs avec qui il a déjà travaillé (tous participent à la production scénique de La Flûte enchantée au Festival d’Aix-en-Provence en juillet 2009). On attend ainsi beaucoup du Tamino de Daniel Behle ainsi que de la Reine de la Nuit d’ Anna-Kristiina Kaapola, qui a déjà eu l’occasion de chanter le rôle sous la direction de Jean-Christophe Spinosi et de Riccardo Muti notamment. (fr)
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