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| - Les Solistes de l'Ensemble Intercontemporain proposent des fragments d’une histoire de la musique de chambre aux
XXe et XXIe siècles, à travers cinq générations de compositeurs : Debussy et Ravel en 1910 et 1920, Messiaen avec son
Merle noir de 1952, Maderna et Berio dans les années 1960, Philippe Schoeller avec son Madrigal de 1994 et, enfin, une
création du jeune compositeur italien Matteo Franceschini.
Les relations musicales entre l’Italie et la France n’ont pas toujours été au beau fixe. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, c’était la guerre ouverte. Au XIXe siècle, le romantisme a créé un vaste tropisme français vers la péninsule italienne. Après un petit passage à vide au tournant du XXe siècle — Debussy s’ennuyant à la Villa Medicis, Ravel ne parvenant même pas à y entrer —, on assiste à une véritable idylle depuis l’après-guerre. Une idylle que ce concert chambriste illustre de superbe manière. Outre le dialogue transalpin, ce programme trouve sa cohérence dans les canons du répertoire que les compositeurs revisitent tour à tour : le genre rhapsodique pour Debussy, la forme sonate pour Ravel, le madrigal pour Philippe Schoeller, des siècles de technique de flûte pour Luciano Berio, l’imaginaire de l’alto pour Bruno Maderna — sans parler du chant des oiseaux pour Olivier Messiaen. (fr)
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| - Les Solistes de l'Ensemble Intercontemporain proposent des fragments d’une histoire de la musique de chambre aux
XXe et XXIe siècles, à travers cinq générations de compositeurs : Debussy et Ravel en 1910 et 1920, Messiaen avec son
Merle noir de 1952, Maderna et Berio dans les années 1960, Philippe Schoeller avec son Madrigal de 1994 et, enfin, une
création du jeune compositeur italien Matteo Franceschini.
Les relations musicales entre l’Italie et la France n’ont pas toujours été au beau fixe. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, c’était la guerre ouverte. Au XIXe siècle, le romantisme a créé un vaste tropisme français vers la péninsule italienne. Après un petit passage à vide au tournant du XXe siècle — Debussy s’ennuyant à la Villa Medicis, Ravel ne parvenant même pas à y entrer —, on assiste à une véritable idylle depuis l’après-guerre. Une idylle que ce concert chambriste illustre de superbe manière. Outre le dialogue transalpin, ce programme trouve sa cohérence dans les canons du répertoire que les compositeurs revisitent tour à tour : le genre rhapsodique pour Debussy, la forme sonate pour Ravel, le madrigal pour Philippe Schoeller, des siècles de technique de flûte pour Luciano Berio, l’imaginaire de l’alto pour Bruno Maderna — sans parler du chant des oiseaux pour Olivier Messiaen. (fr)
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