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| - On l’appelait « le sultan » et sa maison
était surnommée « la ménagerie ».
À lire son ouvrage au parfum de scandale, Tableaux des moeurs du temps dans les différents âges de la vie, on imagine volontiers que sa demeure aura été un haut lieu de libertinage. Mais ce qui est sûr, c’est que chez le fermier général La Popelinière (1693-1762), on pouvait rencontrer Voltaire,
Marmontel, les peintres Van Loo et La Tour, Rameau et Rousseau. Jusqu’en 1753, l’orchestre maison était dirigé par Rameau ; après lui, ce furent Stamitz et Gossec.
Gilles Thomé, Arnaud Marzorati et les musiciens de La Sinfonie bohémienne font revivre, à partir de documents d’époque, la vie musicale chez ce mécène qui déclarait : « Les appétits charnels ne sont point du tout des chimères, ils sont essentiels à notre constitution… » (fr)
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| - On l’appelait « le sultan » et sa maison
était surnommée « la ménagerie ».
À lire son ouvrage au parfum de scandale, Tableaux des moeurs du temps dans les différents âges de la vie, on imagine volontiers que sa demeure aura été un haut lieu de libertinage. Mais ce qui est sûr, c’est que chez le fermier général La Popelinière (1693-1762), on pouvait rencontrer Voltaire,
Marmontel, les peintres Van Loo et La Tour, Rameau et Rousseau. Jusqu’en 1753, l’orchestre maison était dirigé par Rameau ; après lui, ce furent Stamitz et Gossec.
Gilles Thomé, Arnaud Marzorati et les musiciens de La Sinfonie bohémienne font revivre, à partir de documents d’époque, la vie musicale chez ce mécène qui déclarait : « Les appétits charnels ne sont point du tout des chimères, ils sont essentiels à notre constitution… » (fr)
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