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| - Emmanuel Pahud fut, à 22 ans seulement, flûte solo des Berliner Philharmoniker. Il transcende les œuvres dédiées à son instrument, révélant l’élégance et la virtuosité de ces pages.
Dans La Flûte enchantée, Mozart rêve de réconcilier les natures humaines les plus opposées. L’arrangement pour flûte et orchestre de Robert Fobbes-Jansens offre un voyage étourdissant dans cet univers. Le Concerto de Jacques Ibert poursuit, au XXe siècle, l’art du divertissement, pudique et savoureux à la fois. Dans Le Tombeau de Couperin, Ravel exalte le souvenir des morts tombés à la Grande Guerre et évoque avec nostalgie, et impertinence aussi, le raffinement du classicisme français. Quel contraste avec la Deuxième Symphonie de Beethoven dont la création suscita ces commentaires : « bizarre, sauvage et criarde », « un dragon qui n’en finit pas de mourir »… La critique désarmée prit pour du maniérisme ce qui était, en réalité, une révolution musicale. (fr)
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| - Orchestre de Chambre de Paris - Douglas Boyd - Mozart, Ibert, Ravel, Beethoven
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| - Emmanuel Pahud fut, à 22 ans seulement, flûte solo des Berliner Philharmoniker. Il transcende les œuvres dédiées à son instrument, révélant l’élégance et la virtuosité de ces pages.
Dans La Flûte enchantée, Mozart rêve de réconcilier les natures humaines les plus opposées. L’arrangement pour flûte et orchestre de Robert Fobbes-Jansens offre un voyage étourdissant dans cet univers. Le Concerto de Jacques Ibert poursuit, au XXe siècle, l’art du divertissement, pudique et savoureux à la fois. Dans Le Tombeau de Couperin, Ravel exalte le souvenir des morts tombés à la Grande Guerre et évoque avec nostalgie, et impertinence aussi, le raffinement du classicisme français. Quel contraste avec la Deuxième Symphonie de Beethoven dont la création suscita ces commentaires : « bizarre, sauvage et criarde », « un dragon qui n’en finit pas de mourir »… La critique désarmée prit pour du maniérisme ce qui était, en réalité, une révolution musicale. (fr)
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