Attributes | Values |
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type
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label
| - Orchestre National de Lille
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comment
| - Unis depuis plus de trente ans, l’Orchestre National de Lille et son chef Jean-Claude Casadesus continuent à porter la musique sans exclusive dans leur région du Nord-Pas-de-Calais comme ailleurs en France et dans le monde.
Pour ce concert parisien, ils sacrifient à la bonne vieille formule du concert traditionnel en trois temps : ouverture, concerto puis grande oeuvre symphonique. Trois décennies à peine séparent les trois partitions au programme, toutes représentatives d’un moment et d’un lieu du romantisme.
L’ouverture de Tannhaüser de Wagner, composée en 1845 pour la création de l’opéra à Dresde est une merveille mélodique et symphonique, qui met remarquablement en lumière les qualités d’un orchestre, cuivres et cordes en particulier. Lui succède l’unique Concerto pour piano de Grieg, composé en 1868 et souvent rapproché de celui de Schumann, avec lequel il partage la tonalité de la mineur et un certain ton de confidence romantique. Il est cependant bien plus assurément virtuose que son « modèle », ce que ne devrait certes pas contredire le puissant soliste Bruno Leonardo Gelber.
Représentant le versant nationaliste du mouvement romantique, Moussorgski a contribué, par ses opéras Boris Godounov ou La Khovanchtchina, à l’édification d’un art musical russe moderne. Il serait néanmoins bien difficile de déceler une telle revendication nationale dans les Tableaux d’une exposition (1874), magnifique fresque pianistique dont l’universalité est attestée par les nombreuses orchestrations qu’elle a suscitées. Celle de Maurice Ravel, créée en 1922, est la plus célèbre d’entre elles. (fr)
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Pour ce concert parisien, ils sacrifient à la bonne vieille formule du concert traditionnel en trois temps : ouverture, concerto puis grande oeuvre symphonique. Trois décennies à peine séparent les trois partitions au programme, toutes représentatives d’un moment et d’un lieu du romantisme.
L’ouverture de Tannhaüser de Wagner, composée en 1845 pour la création de l’opéra à Dresde est une merveille mélodique et symphonique, qui met remarquablement en lumière les qualités d’un orchestre, cuivres et cordes en particulier. Lui succède l’unique Concerto pour piano de Grieg, composé en 1868 et souvent rapproché de celui de Schumann, avec lequel il partage la tonalité de la mineur et un certain ton de confidence romantique. Il est cependant bien plus assurément virtuose que son « modèle », ce que ne devrait certes pas contredire le puissant soliste Bruno Leonardo Gelber.
Représentant le versant nationaliste du mouvement romantique, Moussorgski a contribué, par ses opéras Boris Godounov ou La Khovanchtchina, à l’édification d’un art musical russe moderne. Il serait néanmoins bien difficile de déceler une telle revendication nationale dans les Tableaux d’une exposition (1874), magnifique fresque pianistique dont l’universalité est attestée par les nombreuses orchestrations qu’elle a suscitées. Celle de Maurice Ravel, créée en 1922, est la plus célèbre d’entre elles. (fr)
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