Attributes | Values |
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type
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label
| - New York Philharmonic - Alan Gilbert - Lang Lang
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comment
| - Le New York Philharmonic fait partie du cercle restreint des « big five », regroupant les cinq meilleurs orchestres américains. Créé en 1842, il a vu défiler les plus grandes baguettes : Dimitri Mitropoulos, Leonard Bernstein, Pierre Boulez, Kurt Masur… Il y a deux ans, c’est Alan Gilbert qui a succédé à Lorin Maazel à sa tête. Le choix d’un chef quadra illustre un ambitieux changement de cap pour le New York Philharmonic. D’abord parce que ce chef possède un geste sûr et aimé des musiciens. Ensuite, parce qu’il est le fils d’une violoniste de l’orchestre et connaît mieux que tout autres les origines du son de cet orchestre fabuleux. Enfin, parce qu’il a des idées neuves et claires sur ce que doit être l’avenir d’une grande formation comme celle-ci. Le répertoire qu’il développe depuis son arrivé est éloquent. Les deux concerts programmés à la Salle Pleyel témoignent de son goût éclectique. Le premier soir, on pourra entendre le Concerto pour violon et orchestre de Beethoven (avec l’archet toujours sensible de Frank Peter Zimmermann), la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky et la Suite n°2 de Daphnis et Chloé de Ravel, dont la bacchanale finale devrait mettre en valeur toute l’énergie rythmique de la formation américaine. Le lendemain, le programme convoque Bartok (Concerto pour piano n°2 sous les doigts superlatifs de Lang Lang), Prokofiev (Symphonie n°5) mais aussi Magnus Lindberg (Feria), compositeur en résidence du New York Phil’. (fr)
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| - New York Philharmonic - Alan Gilbert - Lang Lang
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| - Le New York Philharmonic fait partie du cercle restreint des « big five », regroupant les cinq meilleurs orchestres américains. Créé en 1842, il a vu défiler les plus grandes baguettes : Dimitri Mitropoulos, Leonard Bernstein, Pierre Boulez, Kurt Masur… Il y a deux ans, c’est Alan Gilbert qui a succédé à Lorin Maazel à sa tête. Le choix d’un chef quadra illustre un ambitieux changement de cap pour le New York Philharmonic. D’abord parce que ce chef possède un geste sûr et aimé des musiciens. Ensuite, parce qu’il est le fils d’une violoniste de l’orchestre et connaît mieux que tout autres les origines du son de cet orchestre fabuleux. Enfin, parce qu’il a des idées neuves et claires sur ce que doit être l’avenir d’une grande formation comme celle-ci. Le répertoire qu’il développe depuis son arrivé est éloquent. Les deux concerts programmés à la Salle Pleyel témoignent de son goût éclectique. Le premier soir, on pourra entendre le Concerto pour violon et orchestre de Beethoven (avec l’archet toujours sensible de Frank Peter Zimmermann), la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky et la Suite n°2 de Daphnis et Chloé de Ravel, dont la bacchanale finale devrait mettre en valeur toute l’énergie rythmique de la formation américaine. Le lendemain, le programme convoque Bartok (Concerto pour piano n°2 sous les doigts superlatifs de Lang Lang), Prokofiev (Symphonie n°5) mais aussi Magnus Lindberg (Feria), compositeur en résidence du New York Phil’. (fr)
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