| comment
| - Pauline Viardot [née García] (18 Juillet 1821 au 18 mai 1910) était un chef de file du dix-neuvième siècle, mezzo-soprano française, pédagogue et compositeur d'origine espagnole.
Son nom apparaît sous diverses formes. Lorsque ce n'est pas simplement "Pauline Viardot", il apparaît le plus souvent en liaison avec son nom de jeune fille García ou la forme sans accent, Garcia.
Pauline Pauline García ViardotMichelle Ferdinande est né à Paris le Garcías, une famille opéra espagnol dirigé par son père, ténor, professeur de chant, compositeur et impresario Manuel García. Ses parrains et marraines ont été Ferdinando Paer et de la princesse Pauline Golitsyne, qui lui a donné son prénom. [3] Elle avait 13 ans plus jeune que sa soeur belle diva Maria Malibran, mais son père a fait son favori Pauline et sa formation sur le piano et aussi lui donna des leçons de chant.
Comme une petite fille, elle s'est rendue avec sa famille à Londres, New York (où son père, mère, frère et soeur a donné la première représentation de Don Giovanni de Mozart dans les États-Unis, en présence du librettiste, Lorenzo Da Ponte [4] ) et le Mexique. À l'âge de six ans, elle parlait couramment l'espagnol, français, anglais et italien, plus tard dans sa carrière, elle chanta des airs russes si bien qu'elle a été prise pour un locuteur natif [5] Après la mort de son père en 1832, sa mère,. soprano Joaquina Sitchez a repris son cours de chant, et l'a forcée à concentrer son attention sur sa voix et loin du piano.
Elle avait voulu devenir pianiste de concert professionnel. Elle avait pris des leçons de piano avec le jeune Franz Liszt [6] [7] et les classes de contrepoint et en harmonie avec Anton Reicha, le professeur de Liszt et Hector Berlioz, et ami de Ludwig van Beethoven. C'est avec le plus grand regret que elle a abandonné sa vocation forte pour le piano, ce qu'elle a fait seulement parce qu'elle n'a pas osé désobéir à volonté de sa mère. [7] Elle reste néanmoins une remarquable pianiste toute sa vie, et des duos souvent joué avec elle ami Frédéric Chopin, qui a approuvé de son organisation de certains de ses mazurkas que les chansons, et même aidée dans ce domaine. Liszt, Ignaz Moscheles, Adolphe Adam, Camille Saint-Saëns et d'autres ont laissé des témoignages sur son piano excellent [7].
Après la mort de la Malibran en 1836, âgé de 28 ans, Pauline est devenue une chanteuse professionnelle, avec une gamme vocale de F3 à C6. Cependant, ses débuts professionnels en tant que musicien était aussi un pianiste, accompagnant son frère-frère, le violoniste Charles Auguste de Bériot [7].
Carrière
Viardot que Valentine et Alboni comme Urbain, Acte 1 de Huguenots de Meyerbeer Les à Covent Garden en 1848, lithographie de BrandardIn 1837, 16-ans, Pauline García donne son premier concert à Bruxelles et en 1839, a fait ses débuts à l'opéra de Desdémone dans Otello de Rossini à Londres. Cela s'est avéré être la surprise de la saison. Malgré ses défauts, elle avait une technique exquise combinée à un degré étonnant de la passion.
À l'âge de 17 ans, elle a rencontré et a été courtisé par Alfred de Musset, qui avait déjà été pris avec sa sur Maria Malibran. Certaines sources disent qu'il demanda la main de Pauline dans le mariage, mais elle a refusé. Cependant, elle est restée en bons termes avec lui depuis de nombreuses années. [8] [7] Son amie George Sand (qui plus tard en fonction de l'héroïne de son 1843 Consuelo roman sur lui) avait un rôle dans la décourager d'accepter la proposition de Musset, de la direction sa place à Louis Viardot (1800-1883). Viardot, (fr)
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| - Pauline Viardot [née García] (18 Juillet 1821 au 18 mai 1910) était un chef de file du dix-neuvième siècle, mezzo-soprano française, pédagogue et compositeur d'origine espagnole.
Son nom apparaît sous diverses formes. Lorsque ce n'est pas simplement "Pauline Viardot", il apparaît le plus souvent en liaison avec son nom de jeune fille García ou la forme sans accent, Garcia.
Pauline Pauline García ViardotMichelle Ferdinande est né à Paris le Garcías, une famille opéra espagnol dirigé par son père, ténor, professeur de chant, compositeur et impresario Manuel García. Ses parrains et marraines ont été Ferdinando Paer et de la princesse Pauline Golitsyne, qui lui a donné son prénom. [3] Elle avait 13 ans plus jeune que sa soeur belle diva Maria Malibran, mais son père a fait son favori Pauline et sa formation sur le piano et aussi lui donna des leçons de chant.
Comme une petite fille, elle s'est rendue avec sa famille à Londres, New York (où son père, mère, frère et soeur a donné la première représentation de Don Giovanni de Mozart dans les États-Unis, en présence du librettiste, Lorenzo Da Ponte [4] ) et le Mexique. À l'âge de six ans, elle parlait couramment l'espagnol, français, anglais et italien, plus tard dans sa carrière, elle chanta des airs russes si bien qu'elle a été prise pour un locuteur natif [5] Après la mort de son père en 1832, sa mère,. soprano Joaquina Sitchez a repris son cours de chant, et l'a forcée à concentrer son attention sur sa voix et loin du piano.
Elle avait voulu devenir pianiste de concert professionnel. Elle avait pris des leçons de piano avec le jeune Franz Liszt [6] [7] et les classes de contrepoint et en harmonie avec Anton Reicha, le professeur de Liszt et Hector Berlioz, et ami de Ludwig van Beethoven. C'est avec le plus grand regret que elle a abandonné sa vocation forte pour le piano, ce qu'elle a fait seulement parce qu'elle n'a pas osé désobéir à volonté de sa mère. [7] Elle reste néanmoins une remarquable pianiste toute sa vie, et des duos souvent joué avec elle ami Frédéric Chopin, qui a approuvé de son organisation de certains de ses mazurkas que les chansons, et même aidée dans ce domaine. Liszt, Ignaz Moscheles, Adolphe Adam, Camille Saint-Saëns et d'autres ont laissé des témoignages sur son piano excellent [7].
Après la mort de la Malibran en 1836, âgé de 28 ans, Pauline est devenue une chanteuse professionnelle, avec une gamme vocale de F3 à C6. Cependant, ses débuts professionnels en tant que musicien était aussi un pianiste, accompagnant son frère-frère, le violoniste Charles Auguste de Bériot [7].
Carrière
Viardot que Valentine et Alboni comme Urbain, Acte 1 de Huguenots de Meyerbeer Les à Covent Garden en 1848, lithographie de BrandardIn 1837, 16-ans, Pauline García donne son premier concert à Bruxelles et en 1839, a fait ses débuts à l'opéra de Desdémone dans Otello de Rossini à Londres. Cela s'est avéré être la surprise de la saison. Malgré ses défauts, elle avait une technique exquise combinée à un degré étonnant de la passion.
À l'âge de 17 ans, elle a rencontré et a été courtisé par Alfred de Musset, qui avait déjà été pris avec sa sur Maria Malibran. Certaines sources disent qu'il demanda la main de Pauline dans le mariage, mais elle a refusé. Cependant, elle est restée en bons termes avec lui depuis de nombreuses années. [8] [7] Son amie George Sand (qui plus tard en fonction de l'héroïne de son 1843 Consuelo roman sur lui) avait un rôle dans la décourager d'accepter la proposition de Musset, de la direction sa place à Louis Viardot (1800-1883). Viardot, (fr)
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