Attributes | Values |
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type
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label
| - Quatuor à cordes no 1
- Quatuors. Cordes. No 1. Sz 40. Op. 7
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comment
| - Créé à Budapest, le 19 mars 1910, par le Quatuor Waldbauer-Kerpely. (fr)
- La composition du Premier Quatuor est étroitement liée à celle du Concerto pour violon opus posthume (1907-1908). Il fut véritablement mis en chantier au début de l'année suivante, et achevé le 27 janvier 1909. Le Quatuor op. 7 s'ouvre par un Lento où Bartók se souvient autant de sa fascination de jeunesse pour Wagner et Strauss que de la résignation et du désespoir qui accompagnaient, vers 1905, sa lecture de Nietzsche. Puis il progresse sans interruption vers le finale, qualifié par Kodály, de "retour à la vie". Ce mouvement, le plus complexe et le plus novateur, marque l'éclosion d'un langage puisant sa modernité dans la découverte de Debussy, dont Kodály enthousiaste lui avait rapporté les partitions de Paris en 1907, et dans les airs hongrois ancestraux qu'ils recueillaient ensemble depuis 1905, grâce auxquels Bartók se libéra "de la règle tyrannique des modes majeur et mineur" pour arriver à une "nouvelle conception de la gamme chromatique, dont tous les degrés [acquerraient] une valeur équivalente et [pourraient] être employés librement et indépendamment" (fr)
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U68 has variant title
| - String quartet. Op. 7
- Streichquartett. No 1. Sz 40. Op. 7
- Quatuor à cordes n° 1. Op. 7
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| - Quatuors. Cordes. No 1. Sz 40. Op. 7
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P3 has note
| - Créé à Budapest, le 19 mars 1910, par le Quatuor Waldbauer-Kerpely. (fr)
- La composition du Premier Quatuor est étroitement liée à celle du Concerto pour violon opus posthume (1907-1908). Il fut véritablement mis en chantier au début de l'année suivante, et achevé le 27 janvier 1909. Le Quatuor op. 7 s'ouvre par un Lento où Bartók se souvient autant de sa fascination de jeunesse pour Wagner et Strauss que de la résignation et du désespoir qui accompagnaient, vers 1905, sa lecture de Nietzsche. Puis il progresse sans interruption vers le finale, qualifié par Kodály, de "retour à la vie". Ce mouvement, le plus complexe et le plus novateur, marque l'éclosion d'un langage puisant sa modernité dans la découverte de Debussy, dont Kodály enthousiaste lui avait rapporté les partitions de Paris en 1907, et dans les airs hongrois ancestraux qu'ils recueillaient ensemble depuis 1905, grâce auxquels Bartók se libéra "de la règle tyrannique des modes majeur et mineur" pour arriver à une "nouvelle conception de la gamme chromatique, dont tous les degrés [acquerraient] une valeur équivalente et [pourraient] être employés librement et indépendamment" (fr)
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