| Attributes | Values |
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| type
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| label
| - Concerto pour quatuor à cordes et orchestre
- Concertos. Georg Friedrich Haendel. Concerto grosso Op.6 no 7. Quatuor à cordes, orchestre
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| comment
| - Quelques mois après avoir achevé le "Concerto pour violoncelle et orchestre en ré majeur d'après le "Concerto pour clavecin" de Matthias Georg Monn, Schönberg soumet au même traitement le "Concerto grosso op. 6 no 7 de Georg Friedrich Haendel (composé en 1739). Il étoffe l'effectifd'origine et ajoute un alto au groupe des trois solistes. Toutefois, il ne s'agit pas d'une simple orchestration, mais d'un arrangement, voire d'une "recomposition" de l'oeuvre : si les deux premiers mouvements restent proches du Concerto de Haendel, les deux suivants s'en écartentdélibérément. Les partitions de Monn et de Haendel constituent aussi une sorte de laboratoire permettant au compositeur d'aborder un nouveau genre. Car c'est par leurintermédiaire que Schönberg se confronte au concerto, avant d'entamer son "Concerto pour violon et orchestre", en 1934. Il semble que Schönberg cherche avant tout à donner unenouvelle signification au langage harmonique et à l'écriture polyphonique du XVIIIe siècle, au moyen de techniques modernes (traitement de la dissonance,orchestration qui souligne l'organisation contrapuntique et la structure formelle) et non à apporter sa contribution au néo-classicisme ambiant. (fr)
- Création : le 26 septembre 1934 à Prague, par le Quatuor Kolisch et l'Orchestre de la Radio tchécoslovaque dirigé par Karl Boleslav Jirak. (fr)
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| - Concertos. Georg Friedrich Haendel. Concerto grosso Op.6 no 7. Quatuor à cordes, orchestre
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| P102 has title
| - Concerto pour quatuor à cordes et orchestre
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| U12 has genre
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| U67 has subtitle
| - d'après le "concerto op. 6 no 7" de Georg Friedrich Haendel
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| P3 has note
| - Quelques mois après avoir achevé le "Concerto pour violoncelle et orchestre en ré majeur d'après le "Concerto pour clavecin" de Matthias Georg Monn, Schönberg soumet au même traitement le "Concerto grosso op. 6 no 7 de Georg Friedrich Haendel (composé en 1739). Il étoffe l'effectifd'origine et ajoute un alto au groupe des trois solistes. Toutefois, il ne s'agit pas d'une simple orchestration, mais d'un arrangement, voire d'une "recomposition" de l'oeuvre : si les deux premiers mouvements restent proches du Concerto de Haendel, les deux suivants s'en écartentdélibérément. Les partitions de Monn et de Haendel constituent aussi une sorte de laboratoire permettant au compositeur d'aborder un nouveau genre. Car c'est par leurintermédiaire que Schönberg se confronte au concerto, avant d'entamer son "Concerto pour violon et orchestre", en 1934. Il semble que Schönberg cherche avant tout à donner unenouvelle signification au langage harmonique et à l'écriture polyphonique du XVIIIe siècle, au moyen de techniques modernes (traitement de la dissonance,orchestration qui souligne l'organisation contrapuntique et la structure formelle) et non à apporter sa contribution au néo-classicisme ambiant. (fr)
- Création : le 26 septembre 1934 à Prague, par le Quatuor Kolisch et l'Orchestre de la Radio tchécoslovaque dirigé par Karl Boleslav Jirak. (fr)
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