Attributes | Values |
---|
type
| |
label
| - Orchestre de Paris / Harding
|
comment
| - La beauté sereine du Concerto pour violon de Beethoven, servi avec élégance par Isabelle Faust, et la richesse foisonnante de la Première Symphonie de Mahler : deux œuvres solaires et majestueuses, deux monuments qui célèbrent la vie.
Isabelle Faust met sa fine sensibilité au service du Concerto pour violon de Beethoven, partition « chaleureuse, pure de toute virtuosité gratuite » (Boucourechliev), qui mit un certain temps avant de s’imposer au répertoire. Son Larghetto instaure un dialogue entre le soliste et l’orchestre « comme improvisé, moment de poésie pure qui glisse entre rêve et réalité ». Autre œuvre solaire d’une ampleur quasi-cosmique, la Première Symphonie de Mahler brasse les styles, mélange les genres et colle au réel pour mieux s’échapper vers des contrées de pure fantaisie : bruits de la nature, musiques de cabaret, souffle populaire se muant en refrain lancinant (celui de « Frère Jacques »), climax fracassants irriguent cette fresque foisonnante. (fr)
|
P69 has association with
| |
prov:wasDerivedFrom
| |
P2 has type
| |
U8 foresees time-span
| |
prov:wasAttributedTo
| |
prov:wasGeneratedBy
| |
U77 foresees performing plan
| |
P102 has title
| - Orchestre de Paris / Harding
|
U7 foresees place at
| |
U67 has subtitle
| - Isabelle Faust - Beethoven, Mahler
|
dc:identifier
| |
P3 has note
| - La beauté sereine du Concerto pour violon de Beethoven, servi avec élégance par Isabelle Faust, et la richesse foisonnante de la Première Symphonie de Mahler : deux œuvres solaires et majestueuses, deux monuments qui célèbrent la vie.
Isabelle Faust met sa fine sensibilité au service du Concerto pour violon de Beethoven, partition « chaleureuse, pure de toute virtuosité gratuite » (Boucourechliev), qui mit un certain temps avant de s’imposer au répertoire. Son Larghetto instaure un dialogue entre le soliste et l’orchestre « comme improvisé, moment de poésie pure qui glisse entre rêve et réalité ». Autre œuvre solaire d’une ampleur quasi-cosmique, la Première Symphonie de Mahler brasse les styles, mélange les genres et colle au réel pour mieux s’échapper vers des contrées de pure fantaisie : bruits de la nature, musiques de cabaret, souffle populaire se muant en refrain lancinant (celui de « Frère Jacques »), climax fracassants irriguent cette fresque foisonnante. (fr)
|
foaf:isPrimaryTopicOf
| |