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| - Jacky Terrasson Solo
Révélé au début des années 90, Jacky Terrasson s’est imposé en trio classique, un format sur lequel il a marqué les esprits dans une veine proche du travail d’Ahmad Jamal et d’Herbie Hancock. Depuis, ce pianiste a multiplié les formules, du duo acoustique à un retour au classique, jusqu’à "Mirror", le dixième album sous son seul nom et le premier en solo. Tel un autoportrait mûrement réfléchi, où le virtuose de la Blue Note balaie le champ de ses influences et embrasse tout le clavier, non sans ajouter ça et là quelques touches de facétie.
Hank Jones Solo
La littérature du jazz évoque souvent les « légendes vivantes », les fameux derniers géants. S’il en est un qui peut revendiquer l’appellation, c’est bien Henry « Hank » Jones, pianiste natif du Mississippi ségrégationniste qui passa ses vertes années dans le Michigan, où il débuta sa carrière, sous l’influence conjuguée d’Art Tatum, Earl Hines et Fats Waller. Dès lors, l’aîné d’une dynastie du jazz (Elvin et Thad étaient ses frères) va s’illustrer auprès de tous ceux qui ont compté : Ella Fitzgerald, Charlie Parker, Lester Young, Cannonball Adderley, Wes Montgomery, tout en menant une carrière sous son propre nom, affectionnant les duos et trios, avec pour partenaires des fameuses paires. Ron Carter et Tony Williams, Eddie Gomez et Al Foster… Toujours bel et bien là, Hank Jones, la classe faite homme, a dans les doigts toute l’histoire de cette musique qui est née en même temps que lui. C’est à cette leçon de piano, sensible plus que professorale, qu’il nous convie ce soir. (fr)
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| - 1re partie : Jacky Terrasson Solo
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| - Jacky Terrasson Solo
Révélé au début des années 90, Jacky Terrasson s’est imposé en trio classique, un format sur lequel il a marqué les esprits dans une veine proche du travail d’Ahmad Jamal et d’Herbie Hancock. Depuis, ce pianiste a multiplié les formules, du duo acoustique à un retour au classique, jusqu’à "Mirror", le dixième album sous son seul nom et le premier en solo. Tel un autoportrait mûrement réfléchi, où le virtuose de la Blue Note balaie le champ de ses influences et embrasse tout le clavier, non sans ajouter ça et là quelques touches de facétie.
Hank Jones Solo
La littérature du jazz évoque souvent les « légendes vivantes », les fameux derniers géants. S’il en est un qui peut revendiquer l’appellation, c’est bien Henry « Hank » Jones, pianiste natif du Mississippi ségrégationniste qui passa ses vertes années dans le Michigan, où il débuta sa carrière, sous l’influence conjuguée d’Art Tatum, Earl Hines et Fats Waller. Dès lors, l’aîné d’une dynastie du jazz (Elvin et Thad étaient ses frères) va s’illustrer auprès de tous ceux qui ont compté : Ella Fitzgerald, Charlie Parker, Lester Young, Cannonball Adderley, Wes Montgomery, tout en menant une carrière sous son propre nom, affectionnant les duos et trios, avec pour partenaires des fameuses paires. Ron Carter et Tony Williams, Eddie Gomez et Al Foster… Toujours bel et bien là, Hank Jones, la classe faite homme, a dans les doigts toute l’histoire de cette musique qui est née en même temps que lui. C’est à cette leçon de piano, sensible plus que professorale, qu’il nous convie ce soir. (fr)
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