Attributes | Values |
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type
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label
| - Trois petites pièces pour violoncelle et piano
- Drei kleine Stücke. Violoncelle, piano. Op.11
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comment
| - Créé à Mayence le 2 décembre 1924, par Mauritz Frank, violoncelle et Eduard Zuckmayer, piano. Édition : 1924 chez Universal, à Vienne. (fr)
- En 1914, Schoenberg, alors professeur de Webern, suggéra à celui-ci de composer une sonate pour violoncelle et piano. Webern ne mena pas ce projet à bien, ainsi qu'il l'explique dans une lettre à Schoenberg : "alors que j'étais déjà bien avançé dans le premier mouvement, il m'est apparu de plus en plus clairement que je devais écrire autre chose" Cet "autre chose" fut l'opus 11. Trois très courtes pièces qui constituent l'exemple le plus extrême de la concision recherchée par Webern à l'époque : d'une durée inférieure à quatre minutes, ces trois pièces (9, 13 et 10 mesures) proposent un univers musical au confins du silence, usant avec délicatesse de nombreux modes de jeu, d'une écriture dont la rigoureuse organisation préfigure la musique sérielle. Le total chromatique se trouve présenté de nombreuses fois, unifié par un modèle mélodique général (un petit intervalle suivi d'un grand). Webern appréciait particulièrement cet opus, mais en déconseillait l'exécution au concert. Après cet extrême, le compositeur se consacrera pendant près de 10 ans à la musique vocale, ne revenant aux formes instrumentales qu'en 1927 avec son "Trio à cordes op.20", d'écriture sérielle. Contient : 1- Mässige achtel ; 2- Sehr bewegt ; 3-Ausserst ruhig. (fr)
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U68 has variant title
| - 3 petites pièces. Op.11
- Trois petites pièces. Violoncelle, piano. Op.11
- 3 Kleine Stücke. Op.11
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| - Drei kleine Stücke. Violoncelle, piano. Op.11
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| - Trois petites pièces pour violoncelle et piano
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| - Créé à Mayence le 2 décembre 1924, par Mauritz Frank, violoncelle et Eduard Zuckmayer, piano. Édition : 1924 chez Universal, à Vienne. (fr)
- En 1914, Schoenberg, alors professeur de Webern, suggéra à celui-ci de composer une sonate pour violoncelle et piano. Webern ne mena pas ce projet à bien, ainsi qu'il l'explique dans une lettre à Schoenberg : "alors que j'étais déjà bien avançé dans le premier mouvement, il m'est apparu de plus en plus clairement que je devais écrire autre chose" Cet "autre chose" fut l'opus 11. Trois très courtes pièces qui constituent l'exemple le plus extrême de la concision recherchée par Webern à l'époque : d'une durée inférieure à quatre minutes, ces trois pièces (9, 13 et 10 mesures) proposent un univers musical au confins du silence, usant avec délicatesse de nombreux modes de jeu, d'une écriture dont la rigoureuse organisation préfigure la musique sérielle. Le total chromatique se trouve présenté de nombreuses fois, unifié par un modèle mélodique général (un petit intervalle suivi d'un grand). Webern appréciait particulièrement cet opus, mais en déconseillait l'exécution au concert. Après cet extrême, le compositeur se consacrera pendant près de 10 ans à la musique vocale, ne revenant aux formes instrumentales qu'en 1927 avec son "Trio à cordes op.20", d'écriture sérielle. Contient : 1- Mässige achtel ; 2- Sehr bewegt ; 3-Ausserst ruhig. (fr)
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