Attributes | Values |
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type
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label
| - Quatuors. Cordes. No 2. Op. 10
- Quatuor à cordes no 2
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comment
| - Création : 19 septembre 1927 à Vienne par le quatuor Kolisch (fr)
- Le deuxième quatuor à cordes est une oeuvre charnière dans le catalogue de Schoenberg, et dans la musique du vingtième siècle. L'harmonie, en principe tonale (le quatuor débute en fa dièse mineur et chaque mouvement comporte une armure), tend vers l'atonal de part la prolifération et la liberté des lignes de la polyphonie, l'indépendance des voix instrumentales. Après cette oeuvre, Schoenberg n'utilisera pratiquement plus la tonalité mais tendra vers le dodécaphonisme (déjà présent dans le quatrième mouvement de ce quatuor), voire le serialisme. L'introduction d'une voix de soprano dans les deux derniers mouvements (sur des textes de Stefan George, auteur de prédilection de Schoenberg à cette époque) éclate la notion même de quatuor comme, 100 ans auparavant, la voix dans la neuvième symphonie de Beethoven élargissait la notion de symphonie. La fusion des styles est assurée par la très grande rigueur de construction de ces mouvements (thème et variations, puis forme sonate) très éloignée d'une illustration sonore comme on peut en trouver dans le lied. (fr)
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U68 has variant title
| - String quartet. No 2. Op. 10
- Quatuor no 2. Op. 10
- Streichquartett. No 2. Op. 10
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U71 has uniform title
| - Quatuors. Cordes. No 2. Op. 10
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P3 has note
| - Création : 19 septembre 1927 à Vienne par le quatuor Kolisch (fr)
- Le deuxième quatuor à cordes est une oeuvre charnière dans le catalogue de Schoenberg, et dans la musique du vingtième siècle. L'harmonie, en principe tonale (le quatuor débute en fa dièse mineur et chaque mouvement comporte une armure), tend vers l'atonal de part la prolifération et la liberté des lignes de la polyphonie, l'indépendance des voix instrumentales. Après cette oeuvre, Schoenberg n'utilisera pratiquement plus la tonalité mais tendra vers le dodécaphonisme (déjà présent dans le quatrième mouvement de ce quatuor), voire le serialisme. L'introduction d'une voix de soprano dans les deux derniers mouvements (sur des textes de Stefan George, auteur de prédilection de Schoenberg à cette époque) éclate la notion même de quatuor comme, 100 ans auparavant, la voix dans la neuvième symphonie de Beethoven élargissait la notion de symphonie. La fusion des styles est assurée par la très grande rigueur de construction de ces mouvements (thème et variations, puis forme sonate) très éloignée d'une illustration sonore comme on peut en trouver dans le lied. (fr)
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