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| - Création le 30 septembre 1982, Venise, Biennale de Venise, par Roberto Fabbriciani. Edité par Peters. (fr)
- Commentaire d'après Richard Toop : "Le point de départ du cycle Carceri d'Invenzione, (dont le titre peut se traduire à la fois par "Prisons Imaginaires" et "Prisons de l'Invention") fut la célèbre série de gravures du Piranèse, "fantaisies architecturales" extraordinaires dans lesquelles, dit Ferneyhough, "le contenu est chargé d'expression, avec des énergies explosives et implosives (...) dont l'image peut se prolonger dans un hyper-espace imaginaire, au-delà de l'oeuvre même". Ce sont ces aspects de l'art du Piranèse, plus que la démarche représentative de l'illustration, qui sont à la base de l'inspiration de Ferneyhough. Superscriptio, pour piccolo solo, constitue une remarquable voie d'accès au cycle, et cela pour de nombreuses raisons. Par-dessus tout, le prélude est caractérisé par des extrêmes. Ferneyhough écrit : "Le son extrêmement aigu ou extrêmement bas d'un instrument provoque, tout au moins chez moi, l'évocation de frontières, de limites, en même temps que de ce qui réside au-delà". La relation entre ces idées et ce qui a été dit plus haut à propos de Piranèse est évidente. Deuxièmement, Superscriptio est une oeuvre hyper-construite, même selon les normes de Ferneyhough, et en tant que telle, représente un pôle de la dualité entre automatisme et instinctivisme, ce qui constitue une autre idée maîtresse du cycle. Troisièmement, cette pièce met en scène la flûte symbolisant le fil d'Ariane - qui se promène à travers le labyrinthe du cycle tout entier et qui voit son registre descendre peu à peu de celui du piccolo à la flûte basse". Commanditaire et dédicataire : Roberto Fabbriciani. Durée : environ 12 minutes. (fr)
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- Commentaire d'après Richard Toop : "Le point de départ du cycle Carceri d'Invenzione, (dont le titre peut se traduire à la fois par "Prisons Imaginaires" et "Prisons de l'Invention") fut la célèbre série de gravures du Piranèse, "fantaisies architecturales" extraordinaires dans lesquelles, dit Ferneyhough, "le contenu est chargé d'expression, avec des énergies explosives et implosives (...) dont l'image peut se prolonger dans un hyper-espace imaginaire, au-delà de l'oeuvre même". Ce sont ces aspects de l'art du Piranèse, plus que la démarche représentative de l'illustration, qui sont à la base de l'inspiration de Ferneyhough. Superscriptio, pour piccolo solo, constitue une remarquable voie d'accès au cycle, et cela pour de nombreuses raisons. Par-dessus tout, le prélude est caractérisé par des extrêmes. Ferneyhough écrit : "Le son extrêmement aigu ou extrêmement bas d'un instrument provoque, tout au moins chez moi, l'évocation de frontières, de limites, en même temps que de ce qui réside au-delà". La relation entre ces idées et ce qui a été dit plus haut à propos de Piranèse est évidente. Deuxièmement, Superscriptio est une oeuvre hyper-construite, même selon les normes de Ferneyhough, et en tant que telle, représente un pôle de la dualité entre automatisme et instinctivisme, ce qui constitue une autre idée maîtresse du cycle. Troisièmement, cette pièce met en scène la flûte symbolisant le fil d'Ariane - qui se promène à travers le labyrinthe du cycle tout entier et qui voit son registre descendre peu à peu de celui du piccolo à la flûte basse". Commanditaire et dédicataire : Roberto Fabbriciani. Durée : environ 12 minutes. (fr)
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