Attributes | Values |
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type
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label
| - Kampf und Sieg
- Kampf und Sieg. J 190. Op. 44
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comment
| - Créé à Prague, le 22 décembre 1815 (fr)
- Le projet de cette cantate est né en juin 1815, dans l'euphorie de l'issue de la bataille de Waterloo. Le texte est terminé en octobre, la musique en décembre. Weber rédigea pour ses proches une sorte de programme de l'oeuvre : une véritable mise en scène de la bataille, suivie d'un chant de victoire. En cela, elle est proche de "la Victoire de Wellington" de Beethoven (op. 91, 1813). Weber use de son talent dramatique pour créer une sorte de court opéra de concert, avec solistes (représentant des figures symboliques comme la Foi ou la Charité), choeurs (exprimant les émotions des soldats et du peuple) et l'orchestre seul : la "musique de bataille" (no 7) est particulièrement caractéristique : les français y sont représentés par l'air "ça ira ça ira" (fortement chromatisé lors du passage exprimant la déroute de l'armée) , le côté anglais par "God save the King". Weber écrira que son projet était " d'unifier les parties contrastantes et émotionnellement opposées sans l'aide théatrale de l'oeil". Durée : 15 minutes (fr)
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| - Cantate zu Feier des Vernichtung des Feindes im Juni 1815 bei Belle-Alliance und Waterloo. Op. 65
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| - Kampf und Sieg. J 190. Op. 44
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| - Créé à Prague, le 22 décembre 1815 (fr)
- Le projet de cette cantate est né en juin 1815, dans l'euphorie de l'issue de la bataille de Waterloo. Le texte est terminé en octobre, la musique en décembre. Weber rédigea pour ses proches une sorte de programme de l'oeuvre : une véritable mise en scène de la bataille, suivie d'un chant de victoire. En cela, elle est proche de "la Victoire de Wellington" de Beethoven (op. 91, 1813). Weber use de son talent dramatique pour créer une sorte de court opéra de concert, avec solistes (représentant des figures symboliques comme la Foi ou la Charité), choeurs (exprimant les émotions des soldats et du peuple) et l'orchestre seul : la "musique de bataille" (no 7) est particulièrement caractéristique : les français y sont représentés par l'air "ça ira ça ira" (fortement chromatisé lors du passage exprimant la déroute de l'armée) , le côté anglais par "God save the King". Weber écrira que son projet était " d'unifier les parties contrastantes et émotionnellement opposées sans l'aide théatrale de l'oeil". Durée : 15 minutes (fr)
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