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| - Antoine Tamestit exalte la puissance d’évocation et l’originalité du Concerto pour alto de Jörg Widmann. Déploration, cri de révolte, réminiscences des temps heureux, la Symphonie no 9 de Mahler sonne comme une prophétie existentielle sous la direction de Daniel Harding.
Créé par Antoine Tamestit et l’Orchestre de Paris en octobre 2015, le Concerto pour alto de Widmann demande au soliste d’être comédien, danseur, chef d’orchestre et déploie un éventail de surprenantes interventions questionnant avec brio la fonction concertante de l’alto dans toutes ses dimensions. Adieu de Mahler à la symphonie – la suivante reste inachevée – la Neuvième est une célébration de la vie, des richesses de la nature, avec la mort en filigrane. L’œuvre, visionnaire, d’une vitalité douloureuse, ne peut laisser indifférent. Tout le génie de Mahler est contenu dans ce chant du cygne que Daniel Harding concilie avec la recherche d’un sentiment d’éternité. (fr)
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| - Antoine Tamestit exalte la puissance d’évocation et l’originalité du Concerto pour alto de Jörg Widmann. Déploration, cri de révolte, réminiscences des temps heureux, la Symphonie no 9 de Mahler sonne comme une prophétie existentielle sous la direction de Daniel Harding.
Créé par Antoine Tamestit et l’Orchestre de Paris en octobre 2015, le Concerto pour alto de Widmann demande au soliste d’être comédien, danseur, chef d’orchestre et déploie un éventail de surprenantes interventions questionnant avec brio la fonction concertante de l’alto dans toutes ses dimensions. Adieu de Mahler à la symphonie – la suivante reste inachevée – la Neuvième est une célébration de la vie, des richesses de la nature, avec la mort en filigrane. L’œuvre, visionnaire, d’une vitalité douloureuse, ne peut laisser indifférent. Tout le génie de Mahler est contenu dans ce chant du cygne que Daniel Harding concilie avec la recherche d’un sentiment d’éternité. (fr)
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