Attributes | Values |
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type
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label
| - London Symphony Orchestra
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comment
| - Les trajectoires de John Eliot Gardiner et Maria João Pires se croisent régulièrement. Le chef britannique, fidèle à ses principes, se tient au plus près des effectifs et des traditions d’interprétation de l’époque, histoire de décaper les partitions de « la fausse patine de sonorités orchestrales du romantisme tardif, qui est totalement étrangère à l’esthétique et à l’idéal de Schumann ».
Programme particulièrement généreux, entièrement consacré au plus hanté des musiciens romantiques. En dehors de l’Ouverture de Genoveva, de 1847, séduisant rappel des différents thèmes d’un opéra qui ne réussit jamais à s’imposer, les trois autres œuvres ont toutes connu, sous une forme parfois différente du résultat final, leur genèse en 1841. À un triptyque atypique succède la fièvre du Concerto en la mineur, son lyrisme frémissant. Pour en exalter les beautés, Maria-João Pires, schumannienne dans l’âme. Enfin, à la tête du London Symphony Orchestra, John Eliot Gardiner, un des musiciens les plus importants et éclectiques de notre époque, nous fait redécouvrir la Symphonie n°4, jubilatoire explosion de rythmes. (fr)
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| - Sir John Eliot Gardiner - Maria João Pires - Schumann
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| - Les trajectoires de John Eliot Gardiner et Maria João Pires se croisent régulièrement. Le chef britannique, fidèle à ses principes, se tient au plus près des effectifs et des traditions d’interprétation de l’époque, histoire de décaper les partitions de « la fausse patine de sonorités orchestrales du romantisme tardif, qui est totalement étrangère à l’esthétique et à l’idéal de Schumann ».
Programme particulièrement généreux, entièrement consacré au plus hanté des musiciens romantiques. En dehors de l’Ouverture de Genoveva, de 1847, séduisant rappel des différents thèmes d’un opéra qui ne réussit jamais à s’imposer, les trois autres œuvres ont toutes connu, sous une forme parfois différente du résultat final, leur genèse en 1841. À un triptyque atypique succède la fièvre du Concerto en la mineur, son lyrisme frémissant. Pour en exalter les beautés, Maria-João Pires, schumannienne dans l’âme. Enfin, à la tête du London Symphony Orchestra, John Eliot Gardiner, un des musiciens les plus importants et éclectiques de notre époque, nous fait redécouvrir la Symphonie n°4, jubilatoire explosion de rythmes. (fr)
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