Attributes | Values |
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type
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label
| - Orchestre de Paris - Lorin Maazel - Philippe Aïche
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comment
| - Un véritable festival que ce concert. Chaque œuvre plus irrésistible que l’autre, plus magique dans son orchestration, plus enivrante dans son usage du rythme.
Si Tzigane fut écrite pour le concert symphonique, mi-solo, mi concerto, extrêmement ardue et virtuose, la Rhapsodie espagnole fut, elle, transcrite à partir d’une partition pour piano. Les danses dont elle s’inspire lui offrent la possibilité d’effets vertigineux, à la mesure de la partie soliste originale. Mais ce n’est rien en comparaison du tourbillon fantastique et fatal de La Valse, composée à la sortie de la Première Guerre mondiale : beauté ébréchée, éméchée, effrayante.
Dukas au milieu de tout ceci prendra une allure moins enfantine que d’habitude. Ou alors celle des contes inquiétants du XIXe siècle avant qu’on les édulcore. L’Apprenti sorcier est en effet tiré d’un poème de Goethe.
Lorin Maazel, grand maître de la musique française, prend pour ces deux concerts les rênes d’un orchestre qu’il sait pouvoir mener à un rythme de course. Ceux qui aiment ces frissons pourront retrouver dans trois semaines un programme Debussy-Ravel, dirigé par Riccardo Chailly. (fr)
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Si Tzigane fut écrite pour le concert symphonique, mi-solo, mi concerto, extrêmement ardue et virtuose, la Rhapsodie espagnole fut, elle, transcrite à partir d’une partition pour piano. Les danses dont elle s’inspire lui offrent la possibilité d’effets vertigineux, à la mesure de la partie soliste originale. Mais ce n’est rien en comparaison du tourbillon fantastique et fatal de La Valse, composée à la sortie de la Première Guerre mondiale : beauté ébréchée, éméchée, effrayante.
Dukas au milieu de tout ceci prendra une allure moins enfantine que d’habitude. Ou alors celle des contes inquiétants du XIXe siècle avant qu’on les édulcore. L’Apprenti sorcier est en effet tiré d’un poème de Goethe.
Lorin Maazel, grand maître de la musique française, prend pour ces deux concerts les rênes d’un orchestre qu’il sait pouvoir mener à un rythme de course. Ceux qui aiment ces frissons pourront retrouver dans trois semaines un programme Debussy-Ravel, dirigé par Riccardo Chailly. (fr)
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