Attributes | Values |
---|
type
| |
label
| |
comment
| - Première partie
Deux grandes figures de la scène de Jerez concluent ce cycle consacré aux Gitans d’Andalousie.
La Susi (Susana Amador Santiago, née à Alicante en 1955), se produisait depuis quelque temps comme danseuse dans les tablaos madrilènes lorsque Paco de Lucía, en 1977, lui proposa d’enregistrer son premier album, La Primavera. Depuis lors, elle s’est consacrée exclusivement au chant.
Seconde partie
Manuel « El Agujetas » nous renvoie aux origines avec son chant primitif. Habité par le duende, il fait partie des derniers artistes de la dernière génération qui ne ment pas. Il nous livre en effet un chant sans parure, anarchiste, animal, imprévisible, plaintif, avec une ligne directe entre son coeur et le nôtre, sans passer par l’intellect. (fr)
|
P69 has association with
| |
prov:wasDerivedFrom
| |
P2 has type
| |
prov:wasAttributedTo
| |
prov:wasGeneratedBy
| |
U77 foresees performing plan
| |
P102 has title
| |
U7 foresees place at
| |
dc:identifier
| |
P3 has note
| - Première partie
Deux grandes figures de la scène de Jerez concluent ce cycle consacré aux Gitans d’Andalousie.
La Susi (Susana Amador Santiago, née à Alicante en 1955), se produisait depuis quelque temps comme danseuse dans les tablaos madrilènes lorsque Paco de Lucía, en 1977, lui proposa d’enregistrer son premier album, La Primavera. Depuis lors, elle s’est consacrée exclusivement au chant.
Seconde partie
Manuel « El Agujetas » nous renvoie aux origines avec son chant primitif. Habité par le duende, il fait partie des derniers artistes de la dernière génération qui ne ment pas. Il nous livre en effet un chant sans parure, anarchiste, animal, imprévisible, plaintif, avec une ligne directe entre son coeur et le nôtre, sans passer par l’intellect. (fr)
|
foaf:isPrimaryTopicOf
| |