Attributes | Values |
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type
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label
| - Orchestre de Paris - Paavo Järvi - Dang Thai Son
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comment
| - Les Offrandes oubliées sont la première partition symphonique d’Olivier Messiaen, en 1930. On y retrouve deux caractéristiques inamovibles de sa musique, liées à son inspiration très croyante : des cordes étirées aux harmonies mouvantes d’un côté, des cascades rythmiques emmenées par les cuivres et les percussions de l’autre.
C’est un clin d’œil, alors, que de remonter un siècle exactement en arrière pour entendre la Symphonie fantastique. L’occasion de se rassasier de cette partition inépuisable, vertigineuse parfois pour l’orchestre, est rare à Paris, tant le répertoire à parcourir à chaque saison est vaste. On doit donc à l’imminente tournée en Asie, dans laquelle l’orchestre l’emporte, d’entendre ici l’emblématique œuvre de Berlioz. Le Concerto pour piano de Schumann, de quinze ans postérieur à la Symphonie fantastique, sera aussi du voyage, avec le soliste vietnamien Dang Thai Son. Ses amples dimensions symphoniques, sa richesse thématique mais aussi son caractère intimiste – Schumann ne voulait pas écrire de « musique de virtuose » – le placent dans la droite ligne des concertos de Beethoven et expliquent son large succès. (fr)
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| - Les Offrandes oubliées sont la première partition symphonique d’Olivier Messiaen, en 1930. On y retrouve deux caractéristiques inamovibles de sa musique, liées à son inspiration très croyante : des cordes étirées aux harmonies mouvantes d’un côté, des cascades rythmiques emmenées par les cuivres et les percussions de l’autre.
C’est un clin d’œil, alors, que de remonter un siècle exactement en arrière pour entendre la Symphonie fantastique. L’occasion de se rassasier de cette partition inépuisable, vertigineuse parfois pour l’orchestre, est rare à Paris, tant le répertoire à parcourir à chaque saison est vaste. On doit donc à l’imminente tournée en Asie, dans laquelle l’orchestre l’emporte, d’entendre ici l’emblématique œuvre de Berlioz. Le Concerto pour piano de Schumann, de quinze ans postérieur à la Symphonie fantastique, sera aussi du voyage, avec le soliste vietnamien Dang Thai Son. Ses amples dimensions symphoniques, sa richesse thématique mais aussi son caractère intimiste – Schumann ne voulait pas écrire de « musique de virtuose » – le placent dans la droite ligne des concertos de Beethoven et expliquent son large succès. (fr)
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