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| - Une première soirée à la Philharmonie pour Dudamel et l'Orquesta Sinfónica Simón Bolívar de Venezuela placée sous le signe de deux géants du XIXe siècle : des extraits symphoniques des opéras de Wagner répondent à la Symphonie “du destin” de Beethoven.
L’immense Cinquième Symphonie de Mahler forme le plat de résistance de ce concert de l'Orquesta Sinfónica Simón Bolívar de Venezuela, qui en a donné un enregistrement remarqué chez Deutsche Grammophon. Dudamel, l’un des plus fervents interprètes de la musique sud-américaine, y ajoute une œuvre méconnue du public européen, les Tres versiones sinfónicas (1954) de Julián Orbón.
Digne produit d’el Sistema, ce programme vénézuelien d’apprentissage de la musique classique par les enfants à nul autre pareil, Gustavo Dudamel a déboulé sur les scènes européennes avec la fougue d’un météore. Sa percée lors du Concours de direction d’orchestre de Bamberg en 2004 a sonné le début d’un parcours jalonné de succès. Le trentenaire, qui pratique depuis plus d’une quinzaine d’années, est passé ces dernières années à la tête de nombre d’orchestres de premier plan, que ce soit comme chef invité ou titulaire. L’Orchestre de Göteborg, le Los Angeles Philharmonic ou, bien entendu, l’Orchestre des jeunes Simón-Bolívar en ont ainsi fait leur directeur musical. C’est à la tête de ce dernier, “son” orchestre, qu’il se produit à la Philharmonie en ce début d’année 2015, un an après leur concert monumental consacré au Requiem de Berlioz à la cathédrale Notre-Dame-de-Paris en janvier 2014, qu’il avait voulu dédier à l’un de ses maîtres qui venait tout juste de mourir, le grand Claudio Abbado. (fr)
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L’immense Cinquième Symphonie de Mahler forme le plat de résistance de ce concert de l'Orquesta Sinfónica Simón Bolívar de Venezuela, qui en a donné un enregistrement remarqué chez Deutsche Grammophon. Dudamel, l’un des plus fervents interprètes de la musique sud-américaine, y ajoute une œuvre méconnue du public européen, les Tres versiones sinfónicas (1954) de Julián Orbón.
Digne produit d’el Sistema, ce programme vénézuelien d’apprentissage de la musique classique par les enfants à nul autre pareil, Gustavo Dudamel a déboulé sur les scènes européennes avec la fougue d’un météore. Sa percée lors du Concours de direction d’orchestre de Bamberg en 2004 a sonné le début d’un parcours jalonné de succès. Le trentenaire, qui pratique depuis plus d’une quinzaine d’années, est passé ces dernières années à la tête de nombre d’orchestres de premier plan, que ce soit comme chef invité ou titulaire. L’Orchestre de Göteborg, le Los Angeles Philharmonic ou, bien entendu, l’Orchestre des jeunes Simón-Bolívar en ont ainsi fait leur directeur musical. C’est à la tête de ce dernier, “son” orchestre, qu’il se produit à la Philharmonie en ce début d’année 2015, un an après leur concert monumental consacré au Requiem de Berlioz à la cathédrale Notre-Dame-de-Paris en janvier 2014, qu’il avait voulu dédier à l’un de ses maîtres qui venait tout juste de mourir, le grand Claudio Abbado. (fr)
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